27 juin 2007 3 27 /06 /juin /2007 14:43

LAcadémie pontificale pour la vie sinquiète du risque deugénisme que représente le test de dépistage génétique récemment commercialisé par une firme britannique et qui permet de connaître le sexe dun bébé dès la sixième semaine de grossesse…

 
 
LAcadémie pour la vie dénonce la possibilité deffectuer une discrimination en fonction du sexe dans les délais légaux davortement et met en garde contre le désir de « lenfant parfait ». Les gens veulent contrôler le sexe de leur enfant, regrette-t-on ainsi à lAcadémie pontificale pour la vie, avant de sinquiéter du nombre grandissant des parents qui veulent avoir lenfant parfait. En soulignant le risque deugénisme, lAcadémie indique que lon soriente vers toute une série dautres tests du même genre, comme ceux pour diagnostiquer les prédispositions de lenfant au cancer. Récemment proposé par la firme britannique DNA Worldwide, le test "Pink or blue" (Rose ou bleu) détecte sur lembryon la présence du chromosome Y, dont seuls les garçons sont porteurs, à partir dune goutte de sang de la mère. Coûtant entre 278 et 350 euros, ce test est jugé fiable à 99 % par la firme qui sengage à rembourser les parents en cas derreur. LAcadémie pontificale pour la vie se félicite du fait que, par exemple, la France ait choisi dinterdire la commercialisation de ce test sur son territoire mais remarque que, commercialisé sur Internet à grand renfort de publicité, il peut être utilisé dans nimporte quel pays.
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