12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 15:02

 

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9 avril 2009 4 09 /04 /avril /2009 11:31

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 21:55

« Détenant (l’Ouganda) le triste record du taux d’infection le plus élevé au monde
au début des années 90 – 13 % de prévalence du VIH – une politique d’envergure
engagée avec le soutien de l’Église, prônant l’abstinence et la fidélité,
a ramené le taux d’infection à 5,4 % en 2007. Dédaignée par les agences onusiennes,
la stratégie développée par les autorités de ce pays constitue pour les Occidentaux
une véritable leçon. La réussite est telle qu’elle a fait l’objet d’une publication
dans la prestigieuse revue américaine Science en 2004 »




>>> ARTICLE COMPLET : Sida : le pape au cœur de la tempête
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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 11:17

Samedi 28 mars, environ 5000 personnes ont participé sur la place du Siège (Praça dà So), devant la Cathédrale de San Paolo (Brésil), au troisième acte publique de défense de la vie, organisé par la Commission pour la Défense de la Vie de Sao Paulo et par le « Mouvement National pour la Défense de la Vie – Brésil sans avortement ». L’initiative a été voulue pour célébrer la victoire contre la légalisation de l’avortement, dont le processus était en cours à la Chambre des Députés, mais interrompu grâce à la Commission de Prévoyance sociale et de la Famille par 33 votes contre 0.

 

 

L’Archevêque de la ville, le Cardinal Odilo Pedro Scherer, a affirmé devant les manifestants que « l’avortement est l’échec de la médecine ». Après avoir précisé que « la santé des femmes qui ont subi violence peut être rachetée grâce à la médecine », le Cardinal a répété que « l’avortement représente une agression radicale contre la vie. L’Église est en faveur de tout ce qui contribue à sauver la vie. L’avortement est l’échec de la médecine ». Dans le même temps, l’Archevêque de San Paolo a précisé que l’État doit élaborer des lois qui défendent la vie dès sa conception, en signalant donc que « nous ne pouvons pas donner à l’État le droit de décider de manière légale la vie des innocents. Ce n’est pas une affaire de religion ». L’événement a vu la participation, entre autres, de la Coordinatrice nationale du Mouvement de la Citoyenneté pour la Vie, Marília di Castro, ainsi que du député Talmir Rodrigues, Coordinateur national du Front Parlementaire contre la Légalisation de l’Avortement. Pour Marília di Castro, on a « commémoré la chute du projet qui autorisait l’élimination du fœtus avant la fin de la gestation, et cela grâce à la Commission de Prévoyance sociale et de la Famille et à la Constitution de Justice de la Chambre des Députés ». « Détruisons ces projets qui cherchent à tuer nos enfants » a-t-elle ajouté. Le « Mouvement National pour la Défense de la Vie – Brésil sans avortement » a été fondé en 2006, avec l’objectif de défendre la vie. Il réunit des juristes, des scientifiques, des professeurs et des citoyens, qui représentent la société civile. Le Mouvement compte sur 15 Comités pour la diffusion de ses activités. Il organise des marchés et des événements du Nord au Sud du Pays pour réclamer l’attention de la population sur l’implication et les conséquences de la législation en vigueur.

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31 mars 2009 2 31 /03 /mars /2009 12:53



Hitler a été le premier à introduire l'avortement légal en Pologne.

Le droit de choisir, ce n'est pas la liberté, mais l'extermination des innocents.
Pour les féministes les enfants tués sont une statistique, pour nous ils sont une tragédie.

L'avortement est un meurtre (lettre rouge)

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30 mars 2009 1 30 /03 /mars /2009 13:11

Nous avons été tous surpris et étonnés de la façon dont une phrase du Saint-Père a été totalement sortie de son contexte proche et lointain pour devenir le motif récurrent de toutes les émissions de RFI et d’autres médias français sur le premier voyage apostolique du Saint-Père, le Pape Benoît XVI, en Afrique. Le comble est cette occultation systématique des autres idées de l’interview et la minimisation de tout ce que le Saint-Père s’est efforcé de communiquer comme espérance à l’Afrique, tant au Cameroun qu’en Angola. A cela précisément ne devrait-on pas reconnaître que c’est à l’Eglise et à sa mission évangélisatrice que les acteurs de l’ombre s’en prennent ?

 

 

  

« Il est sacrilège que des fils et des filles d’Eglise qui se prétendent catholiques

s’en prennent au Pape avec vulgarité, arrogance et injures, comme certains

journalistes d’organes français et certaines personnalités françaises »

(Son Eminence le Cardinal Théodore Adrien Sarr) 

 

 

 

Démolir la morale est crime contre l’humanité

 

On n’arrivera pas à bout du Sida, en cassant les ressorts spirituels et moraux des hommes, surtout des adolescents et des jeunes, en les fragilisant et en faisant d’eux des paquets de désirs sexuels sans les régulateurs prévus par le Créateur. C’est un crime contre l’humanité que de priver l’enfant, l’adolescent et le jeune de l’entrainement à la maîtrise de l’esprit sur le corps et ses pulsions qu’on appelle éducation sexuelle. En ce sens, les slogans publicitaires et la distribution de préservatifs pourraient n’être qu’irresponsabilité et crime contre l’humanité. […] Pour nous, Africains, le Pape est le père de la Grande Famille qu’est l’Eglise et, à ce titre, nous lui devons respect et affection. Il est sacrilège selon nous, du simple point de vue de notre culture africaine traditionnelle, pour ne pas encore parler de la foi, que des fils et des filles d’Eglise qui se prétendent catholiques s’en prennent au Pape avec vulgarité, arrogance et injures, comme certains journalistes d’organes français et certaines personnalités françaises, espagnoles, européennes, se sont permis de le faire. Nous déplorons et condamnons ces propos irrévérencieux et injurieux. […] Il nous encourage tous à vivre et à promouvoir l’humanisation de la sexualité et le don de sa propre humanité pour être avec et secourir en vérité les frères et sœurs malades du Sida, comme l’authentique attitude responsable des catholiques face aux malades du Sida et de tous ceux qui aiment vraiment les Africains atteints de ce mal. Nous accueillons son message qui est aussi notre propre position. Et nous déclarons tous avec lui : « … On ne peut pas surmonter ce problème du sida uniquement avec des slogans publicitaires. Si on n’y met pas l’âme, si on n’aide pas les Africains, on ne peut pas résoudre ce fléau par la distribution de préservatifs : au contraire, le risque est d’augmenter le problème ». Telles sont les paroles de Benoît XVI qu’un matraquage médiatique s’est évertué à travestir. En vain. […] Nous disons enfin que les Africains ont la capacité de penser par eux-mêmes, aussi bien les problèmes qui les concernent que ceux de toute humanité. Nous déplorons et dénonçons le crime, venant du fond des âges, où l’on traitait nos frères et nos sœurs en marchandises et en « biens meubles » (Le Code Noir, Art. 44), et qui aujourd’hui consiste à s’acharner à penser pour nous, à parler pour nous, à faire à notre place sans doute parce qu’on ne nous croit pas en mesure de le faire par nous-mêmes […].

 

Source

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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 22:58
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27 mars 2009 5 27 /03 /mars /2009 00:02

A propos de la polémique sur les excommunications de Recife :


 

 

« Je tiens à vous dire que ma conscience est nette. J’ai rempli mes obligations. Je n’aurais jamais pu imaginer une telle réaction au plan national et international, mais j’éprouverais des remords si j’étais demeuré silencieux. Humainement parlant, c’est plus facile de se croiser les bras et de fermer les yeux. Moi, je suis en paix. J’espère que les fidèles catholiques vont prendre conscience de la gravité de l’avortement. Nous savons qu’il y a 50 millions d’avortements par an dans le monde. Il y en a 1 million au Brésil chaque année. Je veux qu’on se souvienne de ce qui s’est passé pendant la Seconde Guerre mondiale. Le dictateur Hitler voulait anéantir le peuple juif et l’on dit qu’il est arrivé à tuer 6 millions de juifs. Nous ne pouvons pas oublier ce crime. Mais aujourd’hui je demande : allons-nous demeurer silencieux quand 50 millions d’avortements surviennent dans le monde ? J’appelle cela un holocauste silencieux. Et nous, les chrétiens, nous ne pouvons pas demeurer silencieux » (Mgr Sobrinho).

  

Lien : Entretien complet à lire sur le Salon Beige (en commentaire)

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 17:34

« [...] Ca y est. Il a prononcé le mot « préservatif ». Il a osé dire que le préservatif « aggravait » la situation. Ce que tout le monde sait depuis longtemps, sauf les aveugles volontaires. Ce que combien de millions de personnes ont appris sur leur peau, elles qui ont été contaminées même avec l'utilisation d'un préservatif. Et combien ne sont plus ! J'ai pu constater personnellement les mensonges liés au préservatif, volontairement entretenus souvent, et leurs conséquences, au cours de mon ministère comme aumônier du deuxième Centre Européen de recherches sur le Sida, à Rome. Selon certain, Benoît XVI a osé mettre le doigt sur ce qu'il ne fallait pas. Cela sonne comme une condamnation à mort. « Ce pape commence à poser un vrai problème », déclare alors l'ancien Premier Ministre Alain Juppé sur la radio. Une pluie de réactions-paniques part en cascade. Dans ces réactions, l'important n'est pas de dire la vérité. L'important est de lyncher le pape. De s'en prendre à l'enseignement de l'Église. De s'en prendre aux catholiques. Cela s'appelle persécution. Le pape annonce seulement l'Évangile : « Heureux les coeurs purs, ils verront Dieu ». C'est le martyre de la couronne blanche, dont la Vierge Marie invitait le père Kolbe à vivre. Invite chacun de nous à vivre aujourd'hui. Particulièrement. Dans un monde où les ténèbres sont de plus en plus ténèbres et la lumière est de plus en plus Lumière, ça ne passe pas ! Agneau au milieu des loups, le pape dérange. Enfant, au milieu des puissants, le pape dérange. Jusqu'où iront-ils dans leur haine ? Ces critiques en cascade expriment un mal-être profond. Des désillusions et déceptions profondes. Expression de coeurs exsangues. Malgré tout, on veut entendre la voix de l'Église. L'Église parle par le Saint-Père. Et elle fait bien de parler. En fait, l'homme contemporain a peur. Parce qu'il vit (nous vivons) une partie de cache-cache avec Dieu : « Adam, où es-tu ? » Le SIDA est le Golgotha de notre temps. Nous nous sommes détournés de l'Amour. Par notre style de vie, par notre conscience obscurcie, par notre refus de la recherche et de l'Amour de la Vérité, oui, nous avons crucifié l'Amour. Nous avons « re-crucifié » l'Amour ! Permettez ces termes clairs : l'amour capote, finit par capoter. Un jour, on se veut. On s'enlasse. Puis vient un moment où on s'en lasse... et on s'en veut ! [...] »

 

Extrait de l’Editorial de M. l’abbé Lelièvre

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 09:24

Le 25 mars, solennité de l’Annonciation du Seigneur, l’Eglise en Pologne a célébré ‘La journée de la sainteté de la vie’, pour soutenir la défense de la vie humaine de sa conception jusqu’à sa fin naturelle. L’archevêque métropolite de Czestochowa, Mgr Stanislaw Nowak, a présidé la messe dans la cathédrale de la Sainte Famille de Nazareth, à Czestochowa. Des prêtres engagés dans la pastorale des familles, des religieux et des religieuses, des membres de l’action catholique et des mouvements pro vie et pro famille ont participé à cette journée de la sainteté de la vie. Dans son homélie, l’archevêque Nowak a souligné l’importance, la grandeur et la sainteté de la vie humaine : « La vie de chaque personne est sainte. Comme chrétiens, nous devons défendre la vie humaine de sa conception à sa fin naturelle. L’Eglise doit être contre l’avortement, la fécondation in vitro et l’euthanasie. Nous devons créer une culture de vie. La philosophie et la culture d’aujourd’hui sont la philosophie et la culture de la mort. Nous, comme chrétiens, nous devons être pour une culture de vie et contre le relativisme éthique », a souligné le métropolite de Czestochowa. Même l’hebdomadaire catholique le plus diffusé en Pologne, “Niedziela”, dont le siège est à Czestochowa, a encouragé du 16 au 24 mars l’action pro vie intitulée “Sauve le saint”, soutenue par des sites catholiques polonais. Des rencontres de prière pour la sainteté et la défense de la vie humaine ont été encouragées dans les paroisses de Czestochowa.

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 09:04

« Ce matin, sur Radio Notre-Dame, le Père Daniel-Ange dénonçait l'irresponsabilité des campagnes de promotion du préservatif telles que celle du sidaction français. […] Un point m'a paru intéressant à relever : dans la conversation, il a été fait référence au scandale du sang contaminé, qui avait éclaboussé le gouvernement socialiste de Laurent Fabius au début des années 80. On accusait des responsables de la Santé d'avoir caché ou tardé à tirer les conséquences des transfusions avec du sang contaminé par le virus du sida, envoyant ainsi à la mort des centaines de malades. Or, nous sommes aujourd'hui dans une situation comparable : les responsables français savent pertinemment que le préservatif est loin d'être efficace à 100%. Et ils se gardent bien d'informer le public, notamment les jeunes, du taux d'échec du préservatif. On leur dit simplement "sortez couverts" ou "le préservatif est le seul moyen de se protéger". Ce qui revient à ne pas leur dire : "allez-y, jouez à la roulette russe, vous aurez 5 ou 6 chances sur 10 de vous en tirer indemnes". Ces "responsables" (!!!) envoient donc sciemment, sinon à la mort, en tout cas au Sida, des centaines de jeunes. C'est criminel. D'après Daniel-Ange, il y aurait actuellement aux Etats-Unis une action judiciaire entreprise par 10 000 médecins contre les autorités sanitaires américaines, leur reprochant de ne pas suffisamment informer les acheteurs de préservatifs des taux d'échec et des risques encourus. A quand une telle action en France ? ».

 

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 08:39

« Le jugement le voici : la lumière est venue dans le monde, mais les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, car leurs œuvres étaient mauvaises » (Jn 3, 19). Ecoute, Israël, combien la Parole de Dieu est actuelle : « Vivante en effet est la Parole de Dieu, efficace et plus incisive qu’aucun glaive à deux tranchants … elle peut juger les sentiments et les pensées du cœur » (He 4, 12). La lumière est venue dans le monde, « et le monde ne l’a pas reconnu » (Jn 1, 10), et il l’a prise en haine (cf Jn 15, 18) ; « Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas accueilli » (Jn 1, 11), et même, « ils le poussèrent hors de la ville et le menèrent jusqu’à un escarpement de la colline … pour l’en précipiter. Mais lui, passant au milieu d’eux, allait son chemin » (Lc 4, 29-30).

 

  

Le lynchage médiatique dont l’Eglise et le Saint-Père ont fait l’objet ces dernières semaines sont comme une illustration de ces paroles toujours actuelles : « Le serviteur n’est pas plus grand que son maître. S’ils m’ont persécuté, vous aussi, ils vous persécuteront » (Jn 15, 20). Les juges ont besoin aujourd’hui comme hier de « faux témoins », comme ceux qui se levèrent devant le Sanhédrin pour condamner Jésus, en déformant ses propos (cf Mc 14, 57-58). Si Jésus, le communiquant par excellence, n’a pas échappé à la mauvaise foi des hommes, pourquoi nous étonner que l’Eglise soit traitée ainsi ? Loin de se soumettre aux lois de la communication humaine que l’on prétend lui imposer, l’Eglise ne peut se soustraire à sa mission prophétique. N’appelons pas « bourde » ou « gaffe », ce qui n’est rien d’autre qu’un témoignage rendu à la Vérité. Ainsi en est-il des propos, remplis de vérité et de compassion, du Saint-Père sur les moyens de combattre le Sida. Les journalistes, dont certains appartiennent à la presse dite catholique, se sont emparés une fois de plus d’une petite phrase ; des politiques, souvent esclaves de l’opinion, ont renchéri, sans aucun discernement, et dénoncé les « propos irrecevables » du Saint-Père et le « discours irresponsable de l’Eglise ». Fils et filles de l’Eglise, nous pouvons garder la tête haute, car les propos du Pape ont été confirmés par les évêques d’Afrique et par les chefs d’Etat de ces pays où le Sida fait des ravages, dénonçant le « racisme latent » de ces occidentaux qui voudraient leur imposer leurs schémas mortifères, au nom de la sacro-sainte licence sexuelle ou bien du matérialisme mercantile dont on voit bien à qui il profite. Un discours qui ne résiste pas à l’évidence des faits : selon les statistiques de l’OMS, les pays d’Afrique où le taux de distribution des préservatifs est le plus fort, la progression du SIDA est la plus élevée ; là où les catholiques sont plus nombreux et où l’on prône en priorité l’abstinence et la fidélité - y compris dans les programmes gouvernementaux- , et le préservatif en dernier recours, le SIDA est en très nette baisse, comme au Burundi ou en Angola. Devant la partialité, voire la falsification de certains medias, les catholiques doivent aller à la source de l’information et communiquer autour d’eux par tous les moyens, à commencer par l’Internet. Mais, en dernière analyse, il faut accepter de souffrir pour le nom du Christ et ne pas s’étonner de ces campagnes de dénigrement : « Si vous étiez du monde, le monde aimerait son bien ; mais parce que vous n’êtes pas du monde, puisque mon choix vous a tirés du monde, pour cette raison, le monde vous hait » (Jn 15, 19). « Mais gardez courage, nous dit Jésus, j’ai vaincu le monde » (Jn 16, 33).

 

+ Mgr Marc Aillet, Evêque de Bayonne, Lescar et Oloron

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 00:13

Mgr Mario De Gasperín, Evêque de Santiago di Querétaro, en la Solennité de l’Annonciation du Seigneur, mercredi 25 mars, et date de la « Journée de l’enfant à naître », a présidé une messe à l’occasion de l’ouverture de l’église sanctuaire de la Vie, une chapelle rattachée à la paroisse du Sacré-Cœur de Jésus. Outre l’évêque, étaient présents : don Jorge Valencia, responsable de la nouvelle église sanctuaire pour la Vie ; don Jaime Gutiérrez Jiménez, président de la Commission diocésaine pour la famille, la jeunesse et les laïcs ; plusieurs prêtres des paroisses du doyenné de Santiago et de nombreux fidèles.

 

Pendant l’homélie, Mgr de Gasperín a affirmé que « la vie humaine qui commence dans le sein d’une femme n’a pas de fin mais continue dans l’éternité ». Particulièrement en ce moment, où « la vie humaine est menacée par tant d’agressions et où son sens et sa valeur sont minimisés et foulés, il est nécessaire de revenir à cette source de vie et de dignité de tout être humain qu’est le sein de Marie, au mystère de sa maternité ». « Adopter un enfant ou sauver une vie –a continué l’évêque- signifie nous comparer à Dieu, étendre sa paternité sur le monde. Partager la vie signifie imiter Dieu, qui a envoyé son Fils au monde pour que ‘nous ayons tous la vie en abondance’, sans négociations ». Il a ensuite rappelé que “toute vie humaine doit être toujours défendue : celle de l’enfant à naître, celle dans le sein maternel, celle de la femme enceinte, celle du nouveau-né, celle du faible et du malade, celle de la personne âgée, et même celle du criminel, comme Dieu a protégé la vie du fratricide Caïn ». « Notre Dieu est un Dieu aimant la Vie », c’est pourquoi les catholiques « sont le peuple de la vie et pour la vie. C’est notre vocation, notre honneur et notre fierté ». Au sujet de la nouvelle église sanctuaire de la Vie, l’évêque a affirmé qu’« elle entend être un lieu où l’on honore, respecte, loue et défend la vie ; où l’on pleure aussi la vie frustrée ou perdue et où l’on expérimente la miséricorde, le pardon et la paix. Elle entend être un chant à la vie ; une lumière qui allume l’espérance dans une vie pleine pour tous ». Au terme de l’homélie, Mgr De Gasperín a béni l’image de la Vierge de Guadalupe placée dans l’église située au centre historique de la ville de Santiago di Querétaro.

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