8 avril 2006 6 08 /04 /avril /2006 14:53
R. O Marie, ô Mère chérie,

Garde au cœur des français la foi des anciens jours !

http://img.over-blog.com/309x450/0/21/41/34/regnumgalliae.jpgEntends du haut du Ciel, ce cri de la patrie :

Catholique et Français toujours !

Entends du haut du Ciel, ce cri de la patrie :

Catholique et Français toujours !

Catholique et Français toujours !

 

 

 

 

1. Aux pieds de ta Mère bénie 

Tombe à genoux peuple chrétien! 

Et que ta bannière chérie 

S'incline en ce lieu trois fois saint.

 

2. Console-toi, Vierge Marie, 

La France revient à son Dieu; 

Viens, souris à notre patrie, 

D'être chrétienne elle a fait voeu.

 

3. Elle assiège ton sanctuaire! 

Elle accourt dans tes saints parvis! 

Pitié, pitié, puissante Mère! 

Fléchis le coeur de Dieu ton Fils.

 

4. Rends la couronne à notre Père, 

Confonds les méchants et leurs voeux; 

Fais que le successeur de Pierre 

Connaisse enfin des jours heureux.

 

Partager cet article
Repost0

commentaires

F
J'ai perdu ma maman très récemment, elle aimait beaucoup ce chant et j'ai pu lui faire encore chanter le dernier jour de sa vie !
Répondre
J
Bientot 88 ans ,depuis ma plus tendre enfance j'ai chanté ce cantique que j'aime beaucoup ,les commentaires sont élogieux ,le chanter pour la commémoration du centenaire serait une reconnaissance que nous devons bien à tous ces sacrifiés
Répondre
P
J'ai la soixantaine, mais j'ai chanté ce cantique dans les années 1960 et début 1970 dans notre paroisse...je ne le crois pas démodé
Répondre
C
j'adore ce chant-----je n'ai jamais cessé de le chanter j'ai 75 ans--------------
Répondre
B
J'AI été surprise par ce beau chant, j'aimerais pouvoir le chanter aujourd'hui sans être traitée de raciste, il est mieux que la Marseillaise.
Répondre
C
<br /> Chant d'entrée pour la messe de départ de la Classe 1918, fin mars 1917, à Notre-Dame de Paris, il était régulièrement chanté par les soldats sur le front car malgré des instructions<br /> ministérielles anticléricales, les officiers laissaient une vrai liberté de conviction aux soldats surtout avec l'exemple des prêtres et religieux qui payèrent un tribu bien plus élevé que la<br /> moyenne dans ce conflit. Y compris les religieux congrégationnistes qui, chassés par la république, revinrent en France pour se sacrifier pour elle.<br /> <br /> <br /> Dans une lettre mon grand-oncle, chasseur de 19 ans, raconte l'émotion des soldats à la Toussaint 1917, lorsuq'ils chantèrent ce chant devant les tombes de leurs camarades, au front, pour<br /> beaucoup non-identifiées.<br /> <br /> <br /> Remettre ce chant à l'honneur, à la veille du centenaire de la grande guerre, ne serait pas anachronique.<br />
Répondre
A
Au regard du contexte historique de l'Alsace-Moselle, c'est compréhensible...
M
Ce cantique était encore chanté en Moselle, dans les années 1950, je m'en souviens encore : le refrain était le même , les paroles des strophes ont été modifiées.