« Sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l'homme intérieur... » (Charette)

Extrait du discours de Mère Térésa, le 10 décembre 1979 (Prix Nobel de la Paix)

10 ans après sa mort, voilà ce que les médias "oublient" de dire sur Mère Térésa... Extrait : 
 
 
 
 
 
« J’ai une conviction, que j’aimerai partager avec vous tous : le plus grand destructeur de la paix est aujourd’hui le cri des enfants innocents à naître. Y a-t-il un pire crime que de s’entretuer, lorsqu’une mère peut tuer son propre enfant en son sein ? Même dans l’Ecriture sainte il est écrit : « même si la mère pouvait oublier son enfant, je ne l’oublie pas ». Mais aujourd’hui, des millions d’enfants à naître sont tués et nous ne disons rien. Dans les journaux nous lisons beaucoup de choses, mais on ne mentionne que très rarement les millions des petits qui ont été reçus avec le même amour que vous ou moi, avec la vie de Dieu. Et nous nous taisons, sommes muets. Pour moi les nations qui ont légalisé l’avortement sont les pays les plus pauvres. Elles craignent les plus petits, elles craignent l’enfant à naître. Et l’enfant doit mourir car elles ne veulent plus de l’enfant -pas un enfant de plus- et l’enfant doit mourir. Et je vous supplie ici au noms des petits : sauvez l’enfant à naître, reconnaissez la présence de Jésus en lui ! Lorsque Marie a visité Elisabeth, l’enfant a tressailli de joie dans le sein de sa mère au moment ou Marie est entrée dans la maison. L’enfant qui allait naître a apporté la joie. C’est pourquoi nous promettons ici de sauver tous les enfants non nés. Donnez à chaque enfant la possibilité d’aimer et d’être aimé. Nous combattons l’avortement par l’adoption. Avec la grâce de Dieu nous réussirons. Dieu bénit notre travail. Nous avons sauvé des milliers d’enfants, nous leur avons trouvé une maison dans laquelle ils sont aimés, où ils sont désirés, où ils ont apporté la joie. C’est pourquoi aujourd’hui, je vous implore Majestés, Excellences, Mesdames et Messieurs, vous tous qui êtes venus de tous les coins de la terre : priez que nous puissions avoir le courage de protéger la vie à naître ».
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