« Sommes une jeunesse, Messieurs ! Sommes la jeunesse de Dieu. La jeunesse de la fidélité ! Et cette jeunesse veut préserver pour elle et pour ses fils, la créance humaine, la liberté de l'homme intérieur... » (Charette)
Dans une paroisse des Landes a lieu un enterrement. Après une messe qui est à la liturgie des funérailles ce qu'une pâtée pour chien est au foie gras landais, il s'agit d'aller au cimetière pour conduire le défunt à sa dernière demeure ici-bas. Un prêtre ami de la famille du disparu est présent et, apprenant que le curé de la paroisse ne se rendra pas au cimetière - car "ça ne se fait plus ici" - se propose, lui, d'y aller pour faire les dernières prières. Il en est empéché par les membres de l'équipe liturgique locale. Heureusement, le prêtre tiendra bon et se rendra quand même au cimetière à la grande satisfaction de la famille du disparu et des fidèles présents. Quand se décidera-t-on à clouer définitivement le bec de ces Trissotins de la pastorale et de ces Diafoirus de la liturgie qui transforment les équipes liturgiques en véritables soviets ?