Ci-dessous le texte intégral de la méditation que le pape Benoît XVI a prononcée ce dimanche à l’occasion de la prière de l’Angélus, en présence de plusieurs milliers de pèlerins rassemblés place Saint-Pierre…
Chers frères et sœurs,
Ci-dessous le texte intégral de la méditation que le pape Benoît XVI a prononcée ce dimanche à l’occasion de la prière de l’Angélus, en présence de plusieurs milliers de pèlerins rassemblés place Saint-Pierre…
Auguste Vierge Marie, ô vous qui êtes, après Dieu, mon unique espérance pendant la vie et à la mort. O tendre Mère du Perpétuel-Secours, je vous consacre mon corps, mon âme ; mon corps avec tous ses sens, mon âme avec toutes ses facultés. Soyez la perpétuelle protection de tout mon être, mon perpétuel refuge contre les assauts de l'enfer, la perpétuelle gardienne de mon innocence, le perpétuel soutien de ma ferveur. Daignez me recevoir au nombre de vos enfants, et me faire toujours ressentir les effets de votre maternel secours. Je veux désormais vous servir fidèlement, vous invoquer sans cesse, renouveler chaque mois cette consécration, et travailler à vous gagner des cœurs. Aidez-moi, ô bonne Mère ! Faites que je ne vous oublie jamais, et que je vous redise toujours : O ma Souveraine, ô ma Mère, souvenez-vous que je vous appartiens ; gardez-moi, défendez-moi comme votre propriété. Ainsi soit-il !
R. Monsieur Saint Yves béni,
Honneur et secours de notre pays,
Celui qui vous prie a toujours
Un gardien dans les cieux.
1. Parmi nous, de Saint Yves
Grands sont les bienfaits ;
En y pensant, chacun
Du fond du cœur dira :
2. Aux cieux comme sur terre
Saint Yves est puissant,
Et son cœur, pour celui qui l'aime,
Est bon et compatissant.
3. Quand la mère dit une prière
À Saint Yves matin et soir
Le cœur de son fils, comme une rose
Se tourne vers le Paradis.
4. Le journalier, l'homme de peine
Chaque jour avant d'aller à son travail
S'il vient prier Saint Yves
Avec joie chantera :
Photo : Saint Yves entre le riche et le pauvre
(Cathédrale de Quimper, XVIème siècle)
[…] [Face à la violence de l’Islam], « chaque jour, [c’est] l’indifférence diplomatique, si ce n’est un négationnisme politique général dans le reste du monde. Ce semble un sujet tabou dans nos médias (peur de représailles ?), sauf quand l’affaire est trop spectaculaire et que des ONG (Amnesty, Human rights watch, etc.) tirent l’alarme. Et même alors, l’affaire est vite étouffée, oubliée. Que le grand public de pays sécularisés ne s’en inquiète guère, cela s’explique, mais que nous, baptisés, nous nous taisions – alors qu’il s’agit de nos frères de chair et de sang, ceux du Christ - c’est proprement inadmissible. […] Delpart lâche : « En France, les évêques sont muets » (p.17). […] Mais il aurait pu évoquer le black-out total de l’épiscopat français sur la persécution communiste, pendant des années. Devant celle des nazis, quelques grandes voix de l’épiscopat français ont crié, au risque de leur vie, sauvant ainsi l’honneur de l’Église de France. Face à la persécution communiste, combien furent-ils à en avoir le courage, disons simplement le fair-play ? Voici dix ans, j’ai réalisé une étude documentée sur cette « conspiration du silence » dans l’Église catholique en France, en ses instances officielles, face à la persécution communiste dans les pays d’Europe de l’Est (à notre porte !), comme en Asie. Les conclusions sont accablantes, et honteuses pour nous. [...] Il a fallu Jean-Paul II pour nous arracher, avec grand peine, à ce silence assourdissant (cf : son discours aux évêques, à Issy, lors de son premier voyage, et celui de Lourdes, le 15.08.83). Que je sache, pas une parole publique d’un évêque français pendant ces décennies, où s’écrivait le plus terrible des martyrologes de l’histoire de l’Église. Même après les insurrections de Budapest et de Prague. Tant de prêtres et d’évêques là-bas m’ont avoué leur douloureuse déception devant cette cruelle (apparente) indifférence, et leur stupeur scandalisée devant nos flirts avec le parti même qui les torturait en prison, ou les expédiait au goulag. Pas un évêque de chez nous n’a encore eu le courage de leur demander un pardon public.
[…] Eh bien ! j’ose poser la question politiquement, ecclésialement très incorrecte : ne recommençons–nous pas, avec la persécution islamique ? Voici quatre ans, un document de la Conférence épiscopale, remarquable par ailleurs, validé par l’Assemblée plénière à Lourdes, abordait tous les aspects du dialogue. Je n’y ai pas trouvé une allusion à cette violence islamique anti-chrétienne. Sans même parler de la question de la réciprocité par rapport aux lieux de culte, ces millions de chrétiens, entre autres libanais et philippins en Arabie Saoudite, ne pouvant disposer d’aucune chapelle, les rarissimes prêtres célébrant en totale clandestinité à leurs risques et périls. Il ne faudrait pas que dans 10 ans, lorsque les faits éclateront au grand jour, ces frères qui donnent leur vie plutôt que de renier leur foi, nous reprochent à leur tour notre indifférence coupable, notre lâcheté, osons le mot : notre couardise. Je voudrais éviter à l’Église de France, cette tache sur son Visage d’épouse du Christ. Que peut donner un dialogue d’intellectuels – ne représentant souvent qu’eux-mêmes, du côté musulman – sans ce minimum de clarté, d’honnêteté, de vérité ? Cette vérité dont Benoît XVI ne cesse de nous dire qu’elle est inséparable de la Charité : caritas con-gaudet veritati. Occulter la vérité, c’est renier la charité. Je pense à Robert Redeker, professeur de philosophie à Toulouse obligé de se cacher parce qu’a été lancée contre lui une fatwa, le menaçant de mort. Cela en France ! Pourquoi ? Parce qu’il a osé avouer dans une tribune du Figaro (17.7.06) que finalement, il préférait le Christianisme à l’Islam. Comment dans le pays dit des droits de l’homme, qui tient à la liberté de pensée, d’expression et de presse, comme à la prunelle de ses yeux, peut-on laisser un tel terrorisme nous paralyser ? J’en tremble pour demain. Vais-je aussi être la cible d’une fatwa, parce que j’ose dire en public que je préfère Jésus à un prophète qui a ordonné des massacres. Et que je préfère l’Église et son exigence de pardon et de respect de la liberté de la femme dans le mariage, à une religion qui ordonne la lapidation des adultères (femmes, bien entendu, jamais les hommes) Pour avoir osé l’insinuer délicatement à des jeunes musulmans, le Père Andréa Santoro a été tué. Pendant des siècles, l’Église s’est battue pour protéger et promouvoir la liberté de la femme, particulièrement quant au mariage, vu comme une condition sine qua non de validité. Comment au moins ne pas soulever la question de son statut en terre d’Islam ?
[…] Je me pose souvent cette question : si pendant le dernier demi-siècle, nos pasteurs avaient fait connaître à leur peuple les témoignages bouleversants des nombreux et héroïques martyrs du Christ, leurs contemporains et « compatriotes » européens, la ferveur de nos baptisés n’aurait-elle pas été stimulée, et peut-être ralenti l’effondrement (collapse) si rapide de la Foi en France ? Et plus particulièrement si on avait fait connaître l’héroïsme des pasteurs des courageuses Églises gréco-catholiques préférant prison, tortures et même meurtre plutôt que de se détacher de Rome, de renier Pierre, est-ce qu'une partie de notre clergé et de la soi-disant intelligentsia catholique française auraient osé leurs critiques acerbes du Pape, avec leur complexe anti-romain primaire ? Peut-être auraient-ils fini par comprendre que leur arrogance vis-à-vis de Pierre était la pire des gifles infligée à leurs propres frères catholiques versant leur sang pour leur seule fidélité au Pape. Peut-être... Aujourd’hui encore, quand un martyr du communisme est béatifié (les Stépinac, Apor, les martyrs d’Ukraine, latins et byzantins, Jerzy Popielusszko, etc.), c’est encore un quasi silence d’indifférence chez nous. Alors que ce serait l’occasion de faire briller ces scintillantes étoiles, dans cette ténébreuse période de notre histoire. Et quand les Midzenty, Popieluszko, Ghyka, Hossu, Todea, ceux d’Albanie le seront bientôt, les ferons-nous connaître et aimer ? Je dis tout cela pour éviter de récidiver. Pour conscientiser notre peuple sur cette tragédie atteignant le cœur même de notre Église. En ce moment même. Oui, en notre propre génération. La béatification d’un Andrea Santoro, de Mgr Claverie et des 7 moines de Tibhirine, ouvrira-t-elle enfin nos lèvres et d’abord nos yeux ? » (cf : Article à lire en son intégralité sur France catholique)
En France, l'Eglise se porte mal. On le sait. Même les évêques, d'habitude assez optimistes, le reconnaissent. La pratique dominicale est en chute libre; les vocations sacerdotales sont au plus bas... deux signes qui ne trompent pas. Reste à savoir pourquoi l'Eglise se porte si mal. N'a-t-on pas suivi et accepté les consignes et les orientation pastorales que nous donnaient nos évêques ? Si. Et c'est peut-être de là que vient une bonne partie des problèmes. Petit tour d'horizon de ces orientations épiscopales : - pour que les fidèles comprennent mieux la liturgie, nos évêques ont demandé que les célébrations soient progressivement débarrassées du latin. Fiasco ! - pour que les fidèles puissent participer davantage à la messe, ils ont veillé à ce que le chant grégorien soit remplacé par des petits refrains. Fiasco ! - pour que les fidèles puissent mieux voir ce qui se faisait à la messe, ils ont généralisé la célébration "face au peuple". Fiasco ! - pour que les prêtres puissent être plus proches des gens, ils ont accepté l'abandon de l'habit ecclésiastique. Fiasco ! - pour que les prêtres soient davantage dans le monde, ils ont encouragé l'engagement social des clercs au détriment de leur engagement spirituel. Fiasco ! - pour relancer les vocations sacerdotales ils ont imaginé des séminaires transformés en colonies de vacances pour adolescents attardés. Fiasco ! - pour affirmer l'autonomie de l'Eglise en France, on a passé sous silence les textes magistériels. Fiasco ! - pour attirer les jeunes, ils ont encouragé les "messes-rock". Fiasco ! - pour inciter les fidèles à prendre eux-mêmes en mains la vie de prière des communautés paroissiales, ils ont mis en place des ADAP. Fiasco ! - pour relancer la pratique, ils ont inventé les "messes anticipées du dimanche". Fiasco ! - pour inciter les fidèles à recevoir le sacrement du Pardon, ils ont largement autorisé les absolutions collectives. Fiasco ! - pour intéresser les jeunes au catéchisme, ils ont édité "Pierres Vivantes" et les parcours catéchétiques. Fiasco ! - pour rendre les messes plus "participatives", ils ont encouragé la création d'équipes d'animation liturgique. Fiasco !
Non contents d'avoir essuyé autant d'échecs, nos évêques s'épuisent à présent dans la création de "secteurs paroissiaux", dans la nomination d' "équipes d'animation pastorale", dans l'organisation de "dimanches-où-il-n'y-a-qu'une-messe-pour-tout-le-secteur", de "dimanches a-liturgiques", de "funérailles sans prêtres", dans la fabrications de CD style "boys band façon catho" (1)... Et puis, il y a les derniers "trucs" à la mode qui sont assurés de faire un "flop" de plus : le "dimanche autrement" et la "messe qui prend son temps". On remarquera que le "dimanche qui est un dimanche" et la "messe qui est une messe" sont toujours ignorés de nos pasteurs. S'il y a crise dans l'Eglise qui est en France, n'est-ce pas parce qu'on a précisément réalisé servilement ce que les états-majors épiscopaux nous demandaient de réaliser, avec la naïve prétention de croire que ce qu'on faisait était nettement plus efficace que ce que le Magistère demandait de faire? Certes, des fidèles ont tiré le signal d'alarme et on attiré l'attention des évêques sur le fait que bien de leurs orientations pastorales s'éloignaient dangereusement des enseignements des Souverains Pontifes; mais à ces fidèles-là, il fut répondu qu'ils n'étaient pas dans "l'esprit du Concile" et qu'il leur fallait choisir entre se soumettre ou se démettre. Beaucoup ont choisi (mais s'agissait-il vraiment d'un choix ?) de se démettre: à quoi bon discuter avec des pasteurs - évêques, curés - qui ne veulent rien entendre et donnent l'impression de cheminer dans le monde d' "Alice au pays des merveilles" où tout est paradoxal, absurde et bizarre ? Beaucoup ont donc choisi... de "laisser tomber". Et tandis qu'ils prenaient leurs distances d'avec l'Eglise - ou plus exactement d'avec un certain clergé, mais les deux se confondent souvent - et que, du fait d'un mouvement généralisé, les messes dominicales étaient de plus en plus désertées, ils ont entendu des pasteurs leur dire : "Nos assemblées ont gagné en qualité ce qu'elles ont perdu en nombre." Il fallait oser le dire !
Il faut donc bien reconnaître, pour conclure, que si l'Eglise se porte mal en France, c'est en grande partie parce qu'on s'est appliqué pendant des années à mettre en oeuvre des orientations pastorales qui ont poussé les fidèles à progressivement ignorer les véritables enseignements du Concile, tels que les Pontifes romains demandaient de les recevoir. Tels que Benoît XVI, aujourd'hui, nous demande de les mettre en oeuvre. Si ça va mal, c'est bien parce qu'on s'est appliqué à faire très exactement ce que nous demandaient de faire certains de nos évêques, lesquels n'ont jamais tenu compte de ce que disait le pape. Là-dessus, on relira les pages de Mgr Gaidon où il est question du fonctionnement de la Conférence des Evêques de France: c'est éclairant !
(1) Prudence : La pro-pilule "Soeur Sourire" a connu les
"problèmes" qu'on sait après des années de succès.
La réponse à cette question vient de nous être donnée dans un message que nous envoie un internaute : « A plusieurs reprises j'ai été amené, durant des messes, à intervenir pour intercepter des personnes partant avec l'Eucharistie dans la main sans avoir communié. Récemment, une paroissienne appelée à donner la communion a dû poursuivre jusqu'à sa place une dame qui avait glissé l'Hostie dans sa poche. Pour ma part, dans au moins un cas dont j'ai été témoin, il s'agissait manifestement d'un vol d'Hosties en vue de messes noires. Un couple avait réussi à prendre l'Eucharistie... Dans un autre cas, une jeune fille interceptée, loin de s'excuser, a joué les offensées, allant jusqu'à me reprocher mon intervention tout en m'avouant qu'elle n'était pas baptisée. Dans d'autres cas, il semble plutôt que les personnes - touristes ou simples curieux - communient par "mimétisme" : on suit le mouvement des fidèles sans intention de commettre un sacrilège. Tout cela est néanmoins préoccupant. Dans les grandes villes, certaines églises paroissiales font un peu figure de "hall de gare" : toutes sortes de gens passent, entrent, cassent parfois la croûte... et quand il y a une messe, certains sont tentés de communier "touristiquement" sans nécessairement être même chrétiens. Ces pratiques sont d'autant plus facilitées que dans beaucoup de paroisses, la communion apparait maintenant comme un "self service". Les prêtres ne peuvent connaître personnellement tous ceux qui s'approchent de la table eucharistique et le discernement concernant l'accès à la communion est laissée au for interne des personnes... alors qu'elles sont de moins en moins formées, de moins en moins au courant des exigences de l'Eglise en matière de foi ou de moeurs, ou alors même qu'elles les contestent. Je connais quelqu'un qui, il y a de ça plusieurs années, communiait chaque dimanche alors que sa situation de concubinage était connue du curé. Ne serait-il pas nécessaire de rappeler régulièrement, comme cela se fait dans les grands sanctuaires de pèlerinage et dans certaines paroisses, les exigences de l'Eglise en matière de communion ? En tout cas, je persiste à demander que les notions élémentaires de catéchisme (et de liturgie !) soient régulièrement rappelées par nos prêtres. Car je peux constater chaque jour les lacunes abyssales de beaucoup de catholiques pratiquants dans ces domaines. Juste un exemple pour finir : à la Vigile pascale, beaucoup de fidèles ont allumés leur cierge au feu nouveau avant d'entrer dans l'église, au lieu de recevoir la lumière répandue et communiquée à partir du cierge pascal, selon l'usage traditionnel. Outre l'ignorance fruit des approximations liturgiques généralisées, un tel comportement est typique de la mentalité moderne qui veut se donner à elle-même sa propre lumière, et non plus la recevoir d'En-Haut ».
Pro Liturgia
Notre-Dame des Neiges est la patronne des Scouts montagnards et des Voyageurs…
Après le thème sur « la femme, cœur de la famille » (pour relire l’article, voir ici), le réseau Domvs Christiani se lance cette année au tour de « l’homme, époux et père »…
Contrairement à ce que l’on entend dans certains milieux « traditionalistes », les causes de la crise actuelle de l’Eglise ne sont pas à chercher dans le concile Vatican II mais doivent être attribuées aux interprétations erronées et abusives de cet événement et de ses documents. Aujourd'hui, des congrégations religieuses sont en crise, les vocations s'écroulent, la participation à la messe et aux sacrements est en chute libre, des journaux et les universités qui se disent « catholiques » répandent l’erreur, le catéchisme n'est plus enseigné, des curés et même des évêques montrent clairement qu’ils n’entendent plus obéir au Saint-Père, les fidèles sont plongés dans une confusion religieuse qui les conduit à imaginer un « dieu » compréhensible et conforme à leurs seuls projets humains... Tout cela n’a pas sa cause dans le Concile mais dans un certain « esprit du Concile » qui a envahi l’Eglise catholique au cours des cinquante dernières années pour gagner même le clergé qu’on avait préalablement privé de solide formation théologique. Le retour à la vie vraiment chrétienne dans nos paroisses ne se fera pas en « tournant autour du pot » ou en prenant des demi-mesures pastorales : ou bien on interprètera Vatican II à la lumière de la Tradition vivante de l’Eglise et en tenant compte de tous les conciles, ou bien la façon coupable dont on aura mis le dernier Concile en œuvre deviendra la cause du naufrage de l’Eglise.
Le parcours biblique développe trois lectures des textes sacrés. 1 - Connaissance du sens littéral (l'histoire, les coutumes, les genres littéraires, etc. ) 2 - Compréhension du sens spirituel (appelé typologique ou christologique). En quoi ces textes de l'Ancien Testament préparent ou préfigurent la venue du Christ et du Royaume de Dieu. Lien entre l'Ancien et le Nouveau Testament. 3 - Appropriation du sens personnel. Avec la tradition de l'Eglise (les Pères, docteurs, saints), comment accueillir ces textes comme une parole de Dieu pour nos vies ?
Intervenant(s) : Olivier Belleil, Verbe de Vie