25 mai 2006 4 25 /05 /mai /2006 09:54

Sa Sainteté le Pape Pie VII, renouvelant une concession déjà faite par les Papes Clément VIII et Benoît XIV, a accordé une indulgence plénière à ceux qui, vraiment contrits, s'étant confessés et ayant communié, diront avec piété, devant l'image de Jésus crucifié, l'oraison suivante, et prieront pour les besoins de l'Église.

 

 

 

Me voici, ô très bon Jésus,

prosterné en votre présence.

Je vous prie et vous conjure,

avec toute l'ardeur de mon âme,

de daigner imprimer dans mon coeur

de vifs sentiments de foi,

d'espérance et de charité,

un vrai repentir de mes fautes

et une très ferme volonté de m'en corriger;

tandis qu'avec un grand amour

et une grande douleur, je considère

et contemple en esprit vos cinq plaies,

ayant devant les yeux ces paroles

que le prophète David vous appliquait déjà

en les mettant dans votre bouche.

ô bon Jésus:

Ils ont percé mes mains et mes pieds,

ils ont compté tous mes os.

 

Partager cet article
Repost0
24 mai 2006 3 24 /05 /mai /2006 19:46

C'est clair, nous vivons dans un monde de tribus : « il faut faire communauté » nous disent beaucoup de nos prêtres qui, au cours des célébrations dites « festives », invitent les assemblées vieillissantes à chanter à tue-tête la joie d’être « un peuple en marche ». Au sein de cette actuelle mosaïque communautariste, il y a une tribu qui devient aujourd'hui particulièrement insupportable : les « adulescents ». Ce mot-valise désigne des personnes coincées entre l'adolescence et l'âge adulte et qui mélangent les attitudes, les valeurs et les comportements des deux âges. 

 

 

 

L' « adulescent » adore la mode, les comportements grégaires, la régression infantile et la profusion d'objets fétiches en tous genres (micros, podiums, foulards, banderoles, spots...) pour calmer les angoisses engendrées par des célébrations qui ne communiquent plus rien. Dans nos paroisses, on a souvent donné la première place a de tels « adulescents » : près de l’autel, dans le chœur. Car les célébrations dominicales leur fournissent le cadre idéal de leur épanouissement. Voilà pourquoi les « adulescents » aiment tant animer des liturgies qui leur permettent d’endosser tous les codes de l'enfant vivant dans son univers ludique : ils agitent les bras, font une chaîne pour dire le « Notre Père », se « bisouillent » longuement pour le geste de la Paix (rite qui, à leurs yeux, est le plus important de toute célébration), ne chantent que des refrains dignes d’une cour de récréation, tapent dans les mains quand on le leur demande et - suprême volupté - distribuent la communion à leurs "soeurs et frères en Christ". Ils aiment aussi exposer leurs bricolages en carton qu’ils mettent généralement au pied de l’autel pour qu’ils soient bien en vue...

 

Leur point d’ancrage est l’ « équipe liturgique » et ils ne supportent pas qu’un prêtre nouveau venu dans la paroisse leur rappelle que leur place n’est pas dans le chœur de l’église mais dans la nef, avec les autres fidèles qui, eux, ne se prennent pas pour des « super-laïcs ». Les « adulescents » qui ont le vent en poupe dans nos « secteurs paroissiaux » semblent aussi avoir un faible pour les formules vides qui, au cours de leurs réunions, leur donnent l’impression de dire des choses qui font réfléchir : « Il faut construire une Eglise autre... » ; « Nous devons cheminer ensemble... » ; « L’important est de partager notre vécu... » ; « Accueillons l’autre avec ses différences... » ; « Avec le Pape actuel, on en revient à l’Eglise d’avant le Concile... », etc. Curieusement, tout en méprisant l’ « Eglise d’avant le Concile », ils témoignent d'une énorme nostalgie de leur enfance, qu'ils tentent de retrouver en prenant des intonations de gamins de huit ans pour faire une lecture ou chanter le dernier cantique appris avec Kévin, le nouvel abbé qui joue si bien de la guitare pour accompagner sœur Marie-Do (en civil mais très reconnaissable à son brushing).

 

On voit aussi que bien des « adulescents » qui sont appelés par les pasteurs diocésains à jouer un rôle « capital » dans le pilotage des « secteurs paroissiaux » nouvellement constitués, développent des rapports sociaux généralement superficiels et immatures qui les poussent le plus souvent à fuir les débats et à refuser toute forme de dialogue élaboré. Souvent assez peu versés en théologie, certains « adulescents » de nos équipes d’animation liturgiques sont également assez peu doué d'une vie intérieure très intense. Ce qui explique qu’ils ne conçoivent pas qu’une célébration liturgique puisse être silencieuse et recueillie : il leur faut le bruit, l’agitation, le bavardage, les mots d’accueil et les souhaits de « bon dimanche à tous » sans lesquels ils ne sont rien et qui font que, à cause eux, de plus en plus de fidèles se plaignent de ce que les messes dominicales ne ressemblent plus qu’à des épisodes de Winnie l’ourson. Dans la préface de « La réforme liturgique en question », de Mgr Gamber, le Cardinal Ratzinger demandait que « la liturgie soit arrachée à l’arbitraire des curés et de leurs équipes liturgiques. » Au vu de ce qui se passe dans nos paroisses, on ne saurait souhaiter autre chose ! 

 

Pro Liturgia

Partager cet article
Repost0
24 mai 2006 3 24 /05 /mai /2006 14:40

Une élégante dame américaine accompagnait Mère Teresa dans ses soins aux malades. Lors du lavage d’un lépreux, elle se détourna, dégoûtée : «  Je ne ferai pas ça pour un million de dollars ! ». « Non, » répondit Mère Teresa, « moi non plus ! ».

 

 

 

Mère Teresa avait une motivation plus forte, de fait, sa vision de l’homme : Contempler l’homme créé à l’image de Dieu, voir le Christ en chaque personne et reconnaître la valeur de l’homme dans son « être personne », et pas comme maillon d’une chaîne de production, ou comme objet de désir.  L’homme est grandiose : un homme n’est pas quelque chose, mais quelqu’un. Il n’est pas simplement soumis à ses instincts. Il est une « personne », porteur d’un monde en soi : la perception, la réflexion, le souhait avec l’aspiration et enfin la décision, créent une vie intérieure unique qui en fin de compte incitent à la recherche du bien, de la vérité et de la beauté. L’homme est la créature à laquelle s’ouvrent la vérité et la réalité. Il peut partager et découvrir chez l’autre cette vie intérieure. De même la capacité d’aimer, c’est à dire le don de soi, est spécifiquement humaine et personnelle. Ces expériences et observations suffisent déjà bien pour reconnaître et admettre la dignité, les droits et la protection de l’homme. Mais en tant que chrétiens nous voyons encore plus loin : Non seulement l’homme a été crée à l’image de Dieu, mais en devenant homme Lui-même, Dieu l’a élevé au titre d’ami et d’héritier. Qu’impliquent ces réflexions de manière pratique ? Un seul homme vaut plus que tout l’univers. C’est pourquoi il ne peut être instrumentalisé ou utilisé comme bouclier ou être pris en otage pour influencer quelque chose de manière politique. De la même manière il ne peut être utilisé pour une satisfaction sexuelle personnelle. Pour l’Etat, la vision chrétienne de l’homme comprend que le but de la politique n’est pas de rechercher le plus grand bien pour le plus grand nombre, mais le plus grand bien possible pour tous. Les faibles aussi doivent être soutenus, même si l’on ne peut voir de sens et de productivité dans leur vie. Pour l’Etat, du fait de cette vision chrétienne de l’homme, l’exploitation et la coercition sont hors de question - les droits de l’homme devant évidemment être respectés. Chacun en particulier doit recevoir la possibilité de s’épanouir. La vie ne repose pas dans nos mains, nous n’avons pas le droit de la « prendre ».  L’homme est situé au sein de quelque chose qui le dépasse. Seul Dieu est maître de la vie et de la mort. Même si la vie ne semblait pas digne d’être vécue : ce n’est pas à nous de peser le pour et le contre et de prendre la décision. C’est justement de ce rapport que parle Dostoïevski lorsqu’il écrit, « si Dieu n’existe pas, alors tout est permis ».  L’élimination des souffrants - de l’euthanasie sur demande jusqu'à tuer des nouveau-nés – ne correspond pas à la dignité de la personne. L’Europe est encore fortement imprégnée des valeurs de la chrétienté : beaucoup ont en général une vision chrétienne de l’homme. Mais plus cette vision se dissocie de sa racine, la foi, plus elle se dilue et plus chacun en particulier est en danger. Lorsque les convictions chrétiennes ne sont plus relevantes dans la vie publique, se profile un déséquilibre fatal entre nos possibilités techniques et notre force morale. Dans le débat autour de la définition de l’Europe, il ne s’agit donc pas d’un combat des éternels nostalgiques mais d’une grande responsabilité pour l’humanité d’aujourd’hui.

 

Texte du Docteur Gudrun Kugler, « L’Europe pour le Christ ! », Vienne

Partager cet article
Repost0
23 mai 2006 2 23 /05 /mai /2006 07:52

En 2005, les évêques de France étaient à Rome pour les visites ad limina. Le moral était loin d'être au beau fixe... déjà ! Le Cardinal Barbarin, reconnaissait une perte de la pratique religieuse et la disparition des vocations. Mgr Ricard s'affligeait de la « baisse du nombre de prêtres, de séminaristes, de pratiquants, de catéchistes, de laïcs militants ». A Toulouse, on constatait « la baisse constante des enfants catéchisés » tandis qu'à Besançon on assistait au déclin de toute pratique « notamment chez les jeunes ». L'évêque de Verdun présentait un diocèse réduit à vingt paroisses avec « un seul prêtre pour desservir trente ou quarante villages avec autant d'églises ». Mgr Marcus, alors à Nantes, se disait affolé de voir le nombre des prêtres diminuer et reconnaissait que les statistiques étaient « alarmantes », révélatrices de « situations de rupture » et tout cela « depuis bientôt quarante ans, dans le sillage du concile Vatican II » (ajoutons : qu'on se refuse à appliquer correctement en France ). Le diocèse de Saint-Claude faisait état de « 63 décès de prêtres en 8 ans et pas une seule ordination ». Le pape Jean-Paul II avait alors répondu que la crise était en partie due à des prêtres qui « donnent l'impression d'un ministère éclaté et n'incitent pas toujours des jeunes à les suivre ».

Partager cet article
Repost0
21 mai 2006 7 21 /05 /mai /2006 18:33

 

Partager cet article
Repost0
21 mai 2006 7 21 /05 /mai /2006 09:33

 

Partager cet article
Repost0
19 mai 2006 5 19 /05 /mai /2006 17:04

L'aile libérale de l'Eglise qui avait le vent en poupe après le Concile et avait largement dominé dans les sphères épiscopales et la bureaucratie cléricale est en perte de vitesse: les jeunes générations de catholiques - parmi lesquelles les prêtres et les religieux - n'en veulent plus. C'est le constat que fait le Cardinal australien George Pell dans une réplique musclée adressée à un prêtre dissident... et déjà à la retraite. Ce dernier avait violemment critiqué  l'Eglise en s'opposant à son enseignement sur la sexualité, sur la non-possibilité de l'ordination des femmes et sur le célibat des prêtres. Le Cardinal Pell a réfuté tous les arguments d'un autre âge avancés par ce prêtre, tout en rappelant que la jeune génération était attirée par un enseignement orthodoxe et en faisant aussi remarquer que ce sont les communautés qui se tiennent à un tel enseignement qui connaissent le plus de vocations. La bulle libérale qui s'était affirmée au lendemain de Vatican II a fait "pschitt"... Le Cardinal Pell est persuadé que c'est la génération 68 qui a fait le plus de mal à l'Eglise et qui, avec ses liturgies et sa catéchèse, a poussé les jeunes hors des paroisses. Il donne l'exemple de la Belgique, des Pays-Bas et des zones  francophones: dans ces pays, les églises ont été vidées. Tout comme les séminaires. Les bureaucraties diocésaines et paroissiales tournent à vide, n'ont plus d'avenir. C'est le Cardinal Pell qui le dit. Il serait bon qu'il soit entendu... en France !

Partager cet article
Repost0
19 mai 2006 5 19 /05 /mai /2006 07:37

Les « traditionalistes » les plus opposés à Vatican II disent à qui veut l’entendre que le Concile doit être abandonné car il n’a rien amené de bon dans l’Eglise. Certes, si l’on regarde ce qui se passe en France, on pourrait être d’accord avec eux... mais à la condition d’admettre que la France a été le pays où les enseignements de Vatican II ont été les plus trahis, notamment en ce qui concerne la catéchèse et la liturgie qui ont trouvé dans les paroisses - grâce au silence des évêques - un terrain d’expériences inédites dans l’histoire de l’Eglise. En faisant de Vatican II l’origine de tous les maux qui atteignent aujourd’hui l’Eglise, on oublie un peu trop vite que tous les conciles, sans exception, ont été suivis de périodes tumultueuses plus ou moins longues. Au moment du concile de Constantinople, en 382, Grégoire de Naziance appelé par l’empereur à participer à une seconde session, n’avait-il pas déclaré : « Pour dire la vérité, je considère qu’on devrait fuir toute assemblée d’évêques, car je n’ai jamais vu aucun concile avoir une issue heureuse ni mettre fin aux maux. » Quant à Basile de Césarée, il avait parlé du « vacarme indistinct et confus », et de la « clameur ininterrompue qui remplissait toute l’Eglise » lors du même Concile (Cf. Benoît XVI, Discours à la Curie romaine, 22.12.2005). Même le concile de Trente avait été très critiqué, et la réforme liturgique qu’il a initiée et qui se fera sous l’autorité du pape S. Pie V ne sera appliquée dans les paroisses... qu’au XIXe siècle. Une réalité qu’oublient trop souvent les « traditionalistes ».

 

Tous les conciles ont donc été suivis d’une période plus ou moins longue de confusions plus ou moins graves. Et l'on ne voit pas comment Vatican II pourrait faire exception à cette règle. Mais faut-il pour autant se croiser les bras et attendre que la tempête se calme ? Sûrement pas ; car plus on attend, plus on laisse les erreurs s’enraciner profondément ; plus on tarde à agir, plus on fait passer les erreurs confortablement installées dans les esprits pour des vérités, ce qui est le meilleur moyen pour se fourvoyer définitivement et créer une mosaïque de chapelles où la foi qui s’enseigne et se célèbre ne sera plus celle de l’Eglise une, sainte, catholique et apostolique. Ce qui importe, dans le contexte actuel de cette confusion issue d’un savant mélange d’ignorance et de désobéissance, c’est de faire le bilan dans une vision large et distante, bilan qui subsiste malgré les manifestations inévitables de crise, mais bilan qui devra se faire par une analyse critique et sans complaisance des « facteurs négatifs incontestables très graves et dans une grande mesure inquiétants ». Il s’agit donc de reconnaître et de dénoncer les erreurs : non par pessimisme ou par simple goût de la critique, mais simplement pour éviter de tomber dans ce désespoir secret qui pousse bien des fidèles à abandonner la pratique dominicale dans un premier temps, à se détacher de l’Eglise dans un second temps. (Cf. Cardinal Joseph Ratzinger, Les principes de la théologie catholique, éd. Téqui, Paris.)

 

Pro Liturgia

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 22:14

Seigneur, ayez pitié de nous. --> Seigneur, ayez pitié de nous.

Christ, ayez pitié de nous. --> Christ, ayez pitié de nous.

Seigneur, ayez pitié de nous. --> Seigneur, ayez pitié de nous.

Christ, écoutez-nous, --> Christ, écoutez-nous,

Christ, exaucez-nous. --> Christ, exaucez-nous.


Père céleste qui êtes Dieu,
--> ayez pitié de nous.

Fils rédempteur du monde, qui êtes Dieu,--> ayez pitié de nous.

Saint-Esprit qui êtes Dieu, --> ayez pitié de nous.

Sainte Trinité qui êtes un seul Dieu, --> ayez pitié de nous.


Sainte Marie, Reine de tous les saints,
--> priez pour nous.

Saint-Yves, père des pauvres,--> priez pour nous.

Saint-Yves, lumière de notre pays, --> priez pour nous.

Saint-Yves, modèle de charité,--> priez pour nous.

Saint-Yves, patron des prêtres,--> priez pour nous.

Saint-Yves, serviteur de la Croix, --> priez pour nous.

Saint-Yves, voué à la pénitence, --> priez pour nous.

Saint-Yves, exemple de toutes les vertus, --> priez pour nous.

Saint-Yves, gardien des foyers, --> priez pour nous.

Saint-Yves, ami des jeunes, --> priez pour nous.

Saint-Yves, aide pour les adolescents, --> priez pour nous.

Saint-Yves, tuteur des veuves et des orphelins, --> priez pour nous.

Saint-Yves, défenseurs des innocents, --> priez pour nous.

Saint-Yves, modèle de pureté, --> priez pour nous.

Saint-Yves, homme de miracles, --> priez pour nous.

Saint-Yves, terreur des démons,--> priez pour nous.

Saint-Yves, qui guérissez les malades, --> priez pour nous.

Saint-Yves, salut des marins, --> priez pour nous.

Saint-Yves, consolateur des affligés, --> priez pour nous.

Saint-Yves, qui rassasiez ceux qui ont faim, --> priez pour nous.

Saint-Yves, refuge des malheureux, --> priez pour nous.

Saint-Yves, secours de tous ceux qui vous invoquent, --> priez pour nous.

Saint-Yves, notre défenseur et notre patron,--> priez pour nous.


Agneau de Dieu, qui enlevez le péché du Monde,
--> prenez pitié de nous.

Agneau de Dieu, qui enlevez le péché du monde, --> prenez pitié de nous.

Agneau de Dieu, qui enlevez le péché du monde, --> donnez nous la paix.


Prions : Dieu de qui vient ce qui est juste et bon, tu as établi Saint-Yves comme juge parmi ses frères et Tu as fait de lui un grand ami des pauvres : Accordes-nous, par son intercession, de rechercher passionnément la justice et de communier à Ton Amour pour les hommes. Par Jésus, le Christ, Notre Seigneur. Amen.

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 22:12

Saint Yves, tant que tu as vécu parmis nous,

Tu as été l’Avocat des pauvres,

Le défenseur des veuves et des orphelins,

La Providence de tous les nécessiteux.

 

Écoute aujourd’hui notre prière !

Obtiens-nous d’aimer la justice comme tu l’as aimée !

Fais que nous sachions défendre nos droits sans porter préjudice aux autres,

 

En cherchant avant tout la réconciliation et la paix.

Suscite des défenseurs qui plaident la cause de l’opprimé

Pour que « Justice soit rendue dans l’Amour »

 

Donne-nous un cœur de pauvre, capable de résister à l’attrait des richesses,

Capable de compatir à la misère des autres et de partager.

Toi, le modèle des Prêtres, qui parcouraient nos campagnes,

Bouleversant les foules par le feu de ta parole et le rayonnement de ta vie,

Obtiens à notre pays les Prêtres dont il a besoin !

 

Saint Yves, prie pour nous !

Prie pour ceux que nous aimons !

Et Prie pour ceux que nous avons du mal à aimer !

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 22:10

Saint Yves, en cette année [….],
nous venons vers toi.

Ecoute les prières de tous ceux qui viennent
t'invoquer au pied de ton tombeau
ou dans ton église du Minihy.

Toi, le Père des pauvres,
prends pitié de tous les pauvres de notre temps :
les chômeurs, les sans-abri, les laissés-pour-compte, les malades,
tous ceux et celles qui, d'une manière ou d'une autre,
ont été blessés dans leur dignité
d'hommes et de femmes.

Toi, le Patron des avocats et hommes de loi,
nous te prions pour ceux qui ont
la lourde mission de rendre justice,
et nous te prions aussi pour toutes les victimes
de l'injustice sous toutes ses formes.

Toi, le Saint Prêtre de Dieu,
obtiens à notre Bretagne, autrefois si chrétienne,
les prêtres dont elle a grand besoin.

Toi, le modèle de la jeunesse étudiante,
aide nos jeunes, en particulier ceux qui sont sans repère,
à trouver un sens à leur vie, une raison d'exister.

Saint Yves,

secours de tous ceux qui t'invoquent,
entends notre prière,
et, nous t'en conjurons,

sois à l'heure dernière, l'avocat des Bretons.

Amen !

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 15:21

 

R. Laudate, laudate, laudate Mariam (bis)

 

 

 

1. O Vierge Marie,

Entends près de Dieu

Ton peuple qui prie

Exauce ses vœux.

 

2. Unis aux Saints Anges

Devant ton autel

Reçois nos louanges,

O Reine du ciel.

 

3. Ton âme très pure

Est sainte en naissant.

De toute souillure

Le ciel la défend.

 

4. Le Verbe adorable

Fait homme pour nous

De toi, Vierge aimable,

Veut naître humble et doux.

 

5. Et Dieu te couronne

Devant les élus,

Ton trône rayonne

Auprès de Jésus.

 

6. O Reine bénie

Qu’au sein des splendeurs

Après cette vie

Te chantent nos cœurs.

Partager cet article
Repost0
18 mai 2006 4 18 /05 /mai /2006 12:33
Partager cet article
Repost0