22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 15:44

 

Partager cet article
Repost0
22 mars 2006 3 22 /03 /mars /2006 10:56
Partager cet article
Repost0
21 mars 2006 2 21 /03 /mars /2006 15:03

lille.jpg

Partager cet article
Repost0
21 mars 2006 2 21 /03 /mars /2006 13:26
Partager cet article
Repost0
19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 22:26

« Ne relâchons rien de notre zèle pour la vérité catholique, mais sachons purifier ce zèle. Veillons à ne pas être de ces "hommes charnels"... Par là nous nous exposerions à une pire infortune : celle de collaborer avec l'irréligion militante, en lui facilitant la tâche qu'elle s'assigne de reléguer l'Eglise et sa doctrine parmi les choses mortes. Nous lui fournirions, pour ainsi dire, une bonne conscience. Car cette irréligion ne comprend rien à l'actualité de l'éternel. "Que l'Eglise dit-elle reste ce qu'elle est !" - et l'on devine à quel genre d'immobilisme correspond un tel voeu - alors "on l'accueillera avec cette bienveillance qu'on a pour les débris historiques". Combien la tentation critique (malgré ses dangers) vaut-elle mieux que le naïf contentement de soi... On aurait tort de vouloir par principe en empêcher toute expression publique. Lorsque l'Eglise est humble dans ses enfants, elle est plus attirante que lorsque domine en eux le souci trop humain de la respectabilité. Jacques Maritain remarquait un jour, non sans une juste nuance de raillerie, qu'à beaucoup de chrétiens de notre âge tout aveu de nos déficiences semble "en quelque manière indécent". "On dirait qu'ils redoutent de gêner l'apologétique...". Toutefois, pour une plainte heureuse, pour un examen lucide et fécond, que d'excès, que d'intempérances ! Pour un acte courageux, que de vaine agitation ! Que de critiques négatives !... Compétence et opportunité peuvent aussi faire défaut... L'irréligion n'était pas (jadis) toujours aux aguets, pour tirer argument de tout. Aujourd'hui que de toute part l'Eglise fait figure d'accusée, aujourd'hui qu'elle est incomprise, bafouée dans son existence et dans sa sainteté même, tout catholique doit veiller à ne pas laisser exploiter contre elle ce qu'il ne voulait exprimer que dans l'intention de la mieux servir. Il doit prendre garde à des malentendus mortels. Délicatesse filiale, qui n'a rien à voir avec la pruderie ou le calcul hypocrite. Ne se mêle-t-il pas à nos inquiétudes, à dose plus ou moins subtile, je ne sais quelle timidité, quel manque d'assurance intime, quel dégoût secret de la tradition de l'Eglise ? Croyant nous émanciper d'un esprit jugé sénile, voulant lutter contre l'ankylose et la sclérose, ne serions-nous pas en train de faire quelques "maladies infantiles" ? Ce que nous prenons peut-être pour un éveil de personnalité ne serait-il pas plutôt le fruit d'un entraînement aveugle ? Ne nous mettrions-nous pas à juger toutes choses d'après des critères superficiellement "modernes" ? Les valeurs profanes que le monde étale à nos yeux ne commenceraient-elles pas de nous éblouir ? Devant ceux qui les représentent ne nous laisserions-nous pas affecter peu à peu d'un pauvre complexe d'infériorité ?

 

De tout temps l'Eglise s'est attiré le mépris d'une élite. Beaucoup d'autres parmi ces sages pensent rendre justice à l'Eglise et se récrient lorsqu'on les dit ses adversaires. Ils la protègeraient au besoin. Mais ils conservent leurs distances. Ils ne veulent pas pour eux-mêmes d'une foi qui les assimilerait à tous les misérables, au-dessus desquels ils se placent par leur culture esthétique, leur réflexion rationnelle ou leur souci d'intériorité. Ces "aristocrates" n'envisagent pas de se mêler au troupeau. L'Eglise, suivant eux, conduit les hommes par des voies trop communes... Se distinguant comme "ceux qui savent" de la masse de "ceux qui croient", ils prétendent la connaître mieux qu'elle ne peut se connaître elle-même. Ils la situent avec condescendance... Il n'y a pas de "christianisme privé". »

 

Cardinal de Lubac, Médiations sur l’Eglise, Nos tentations à l'égard de l'Eglise

Partager cet article
Repost0
19 mars 2006 7 19 /03 /mars /2006 12:10

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2006 6 18 /03 /mars /2006 23:02

Je vous salue, Joseph, vous que la grâce divine a comblé,

le Sauveur a reposé dans vos bras et grandi sous vos yeux,

vous êtes béni entre tous les hommes, et Jésus,

l'Enfant divin de votre virginale épouse est béni.

Saint Joseph, donné pour père au Fils de Dieu,

priez pour nous dans nos soucis de famille,

de santé et de travail, jusqu'à nos derniers jours,

et daignez nous secourir à l'heure de notre mort. Amen.

 

------------------------------------------------------------------

 

Prière à Saint Joseph sur Hozanna...

 

Prions chaque jour Saint Joseph sur Hozana

Partager cet article
Repost0
17 mars 2006 5 17 /03 /mars /2006 09:48

Kyrie (XIème)
 

Gloria (XIIème)
 

Sanctus (XIIIème)
 

Agnus Dei (?? ème)
Partager cet article
Repost0
16 mars 2006 4 16 /03 /mars /2006 10:04

En France, les débats sur la liturgie demeureront un dialogue de sourds tant que les évêques n'auront pas reconnu que la forme "ordinaire" de la messe romaine n'existe pas dans les paroisses, tant qu'ils n'auront pas admis que ce qu'ils appellent, eux, la "forme ordinaire", ne correspond généralement pas à ce que l'Eglise entend lorsqu'elle parle, elle, de la forme que doit avoir le rite romain depuis Vatican II. Autrement dit, on demeurera dans le verbiage vide et stérile tant que les pasteurs diocésains n'auront pas convenu que lorsqu'ils parlent de la "forme ordinaire" de la liturgie romaine, ils ne désignent pas la même chose que ce que désigne l'Eglise lorsqu'elle en parle. Pour l'Eglise, la forme "ordinaire", c'est ça et ça. Pour les évêques de France, la forme "ordinaire", ça peut être ça ou encore ça... ou 1 000 autres choses qui sont encore à inventer et qui ne peuvent en aucune façon être assimilées à la liturgie romaine telle que Benoît XVI nous demande de la comprendre et de la mettre en oeuvre. En autorisant la forme "extraordinaire" de la liturgie romaine dans leurs diocèses tandis qu'ils continuent à accepter toutes les déformations de la forme "ordinaire", nos évêques donnent la preuve qu'ils ne comprennent rien ni à la liturgie ni à ce que leur demande le Souverain Pontife.

Partager cet article
Repost0
16 mars 2006 4 16 /03 /mars /2006 09:30

La crise liturgique est le résultat de trois phénomènes qui se conjuguent pour interdire sa résolution: la désobéissance, l'ignorance et l'indifférence.
Désobéissance de très nombreux clercs - évêques en tête - décidés à contourner les enseignements du Souverain Pontife.
Ignorance d'une majorité de prêtres n'ayant reçu aucune formation liturgique.
Indifférence de la grande masse des fidèles rendus perméables à n'importe quelles excentricités liturgiques.
Comment faire pour sortir de cette situation? Premièrement, reconnaître que la liturgie obéit à des normes qui ne se discutent pas; deuxièmement, former correctement les prêtres; remplacer partout les fidèles de bonne volonté qui veulent s'occuper de liturgie par des fidèles compétents; compter sur des évêques soucieux de respect le principe conciliaire selon lequel "dans les célébrations liturgiques, chacun, ministre ou fidèle, en s'acquittant de sa fonction, fera seulement et totalement ce qui lui revient en vertu de la nature de la chose et des normes liturgiques." (Cf. Sacrosanctum Concilium, n°28).Autrement dit, il faut s'employer à vouloir faire le contraire de ce qui a été fait jusqu'ici. Ce qui implique de supprimer des privilèges, de changer beaucoup de mauvaises habitudes, de mettre la liturgie de l'Eglise à l'abri des nomenklatures diocésaines où se retrouvent trop de gens faisant passer leurs intérêts personnels avant ceux des fidèles.

 

Pro Liturgia

Partager cet article
Repost0
16 mars 2006 4 16 /03 /mars /2006 08:56

 

Partager cet article
Repost0
12 mars 2006 7 12 /03 /mars /2006 19:36

 

Partager cet article
Repost0
12 mars 2006 7 12 /03 /mars /2006 19:35

 

Partager cet article
Repost0