13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 23:08

Ci-dessous, un extrait de l'homélie prophétique de Jean-Paul II en 1991, lors de son voyage en Pologne. Le Pape y compare les abominables génocides nazis et communistes du XXème siècle à celui des enfants à naître. Nazisme, communisme, féminisme... L'histoire ne cesse de se répéter à travers le concept philosophique de la "banalité du mal" (Hannah Arendt). Il faut bien oser le dire : la pilule abortive RU-486 produit le même effet que le pesticide du Zyklon B des chambres à gaz. Idem, les avortoirs ne sont que des camps d'exterminations modernes. Les "SS" de notre temps qui coopèrent à ce génocide sont aujourd'hui incarnés par le personnel du Planning Familial, les médecins prescrivant la pilule, les scientifiques faisant des expériences à la Josef Mengele pour trier par DPI ou DPN (= eugénisme d'Etat) les personnes "supérieures" (sans défaut génétique) et ensuite massacrer des embryons "inférieurs" sur l'autel de la science, les nombreux dirigeants politiques menant avec détermination et fanatisme cette boucherie abortive, l'éducation nationale endoctrinant la jeunesse par une propagande digne d'un Goebbels, etc... La résistance face à cette nouvelle guerre mondiale exterminant dans l'indifférence générale  depuis plus de 40 ans  des centaines de millions d'enfants innocents dans le sein maternel est un devoir :




ideologiedumaljeanpaulII.jpg

 

« [...] À ce cimetière de victimes de la cruauté humaine en notre siècle, vient s'ajouter encore un autre grand cimetière : le cimetière des enfants avant leur naissance, le cimetière de ceux qui sont sans défense, de ceux dont même la mère n'a pas connu le visage, en consentant, ou en cédant à la pression, que leur soit enlevée la vie dès avant leur naissance. Et pourtant ils avaient déjà la vie, ils étaient déjà conçus, ils se développaient sous le coeur de leur mère, sans pressentir le danger mortel. Et lorsque cette menace est devenue réalité, ces êtres humains sans défense tentèrent de se défendre. La caméra a pu enregistrer cette défense désespérée face à l'agression d'un petit enfant avant sa naissance, dans le sein de la mère. J'ai eu l'occasion de voir un tel film (+++) (+++) (+++) - et aujourd'hui encore je ne puis me libérer de son souvenir, je ne puis m’en libérer. Il est difficile d'imaginer ce drame horrible, avec toute son éloquence morale, humaine. La racine du drame, combien elle est parfois élargie et différenciée ! Mais il y a aussi les instances humaines, parfois les « groupes de pressions », les corps législatifs, qui « légalisent » la privation de la vie de l'homme non encore né. Existe-t-il une instance humaine, existe-t-il un parlement, qui ait le droit de légaliser le meurtre d'un être humain innocent et sans défense ? Qui ait le droit de dire : "Il est permis de tuer", et pour finir : "il faut tuer", là où il faut au contraire protéger et aider la vie au maximum ? [...] » (Sa Sainteté le Pape Jean-Paul II, homélie du 4 juin 1991 en Pologne)

Partager cet article
Repost0

commentaires