1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 22:35

Le Vendredi Saint, la Liturgie de l'Église, entrée depuis hier dans le Temps Sacré du Triduum Pascal, nous invite à célébrer la Sainte Passion du Christ-Seigneur. Ce grand mystère sacrificiel, propitiatoire, expiatoire, impétratoire, satisfactoire, eucharistique et latreutique du Saint Agneau immolé sur le Calvaire réalise pleinement notre Salut. En regardant la Croix de Son Seigneur et Époux, l'Église-Épouse se souvient qu'elle est née du côté du Christ endormi sur la Croix. « De même qu'Eve a été formée du côté d'Adam endormi, ainsi l'Église est née du Cœur transpercé du Christ mort sur la Croix » (Saint Ambroise). Vers 15H00, l'Église universelle célèbre la Sainte Passion du Christ (traditionnellement, nous commençons avec le Chemin de Croix que l'on méditera dans l'église de 14H00 à 15H00 + Office des Présanctifiés de 15H00 à 16H00). L’Église nous invite à partager pleinement les sentiments de Jésus et à contempler toutes ses souffrances volontairement subies en sa nature humaine à cause de nos péchés. Les fidèles catholiques sont bien évidemment invités à l'abstinence et au jeûne (pas de viande en particulier).

 
        
 

 

 

        toutestaccompli      

« Il n'avait ni beauté ni éclat pour attirer nos regards. Objet de mépris, abandonné des hommes,
homme de douleur, familier de la souffrance, comme quelqu'un devant qui on se voile la face,
méprisé, nous n'en faisions aucun cas. Or ce sont nos souffrances qu'il portait 
et nos douleurs
dont il était chargé. Et nous, nous le considérions comme puni,
 frappé par Dieu et humilié. 
Mais lui, il a été transpercé à cause de nos crimes,
 écrasé à cause de nos fautes. 
Le châtiment qui nous rend la paix est sur lui,
 et dans ses blessures nous trouvons la guérison.
Tous, comme des moutons,
 nous étions errants, chacun suivant son propre chemin, et le Seigneur
a fait
 retomber sur lui nos fautes à tous » (Prophète Isaïe, chapitre 53, 2-7)

 

 

 

 


 

 

 

 

SERMON DE SAINT JEAN CHRYSOSTOME,

PRONONCÉ LE VENDREDI SAINT

À ANTIOCHE (28 MARS 392)

 

 

 

 

EXTRAIT : « (…) Vous avez vu la victoire admirable, vous avez vu les exploits et les bienfaits de la croix ? (…) Jésus-Christ a triomphé du démon par les moyens mêmes avec lesquels le démon avait vaincu le monde, il a combattu avec ses propres armes. Ecoutez comment. Une vierge, le bois, la mort, avaient été les moyens et les instruments de notre défaite. La vierge était Eve qui n'avait pas encore connu Adam; le bois était l'arbre, et la mort la peine imposée au premier homme. Une vierge, le bois et la mort, qui avaient été les moyens et les instruments de notre défaite, sont devenus les moyens et les instruments de notre victoire. Marie a remplacé Eve ; le bois de la croix, le bois de la science du bien et du mal; la mort de Jésus-Christ, la mort d'Adam. Vous voyez que le démon a été vaincu par les mêmes moyens avec lesquels il avait triomphé. Le démon avait renversé Adam avec le bois de l'arbre, Jésus-Christ a terrassé le démon avec le bois de la croix. Le bois de l'arbre a jeté les hommes dans l’abîme, le bois de la croix les en a retirés. Le bois de l’arbre a dépouillé l'homme de ses privilèges, et l’a enfermé dans l'obscurité d'une prison; le bois de la croix a dépouillé de ses armes le vainqueur de l’homme, et l'a montré vaincu à toute la terre. La mort d'Adam s'est étendue sur ceux qui sont venus après lui; la mort de Jésus-Christ a rappelé à la vie ceux qui étaient nés avant lui. « Qui racontera les merveilles du Seigneur et les prodiges de son bras puissant ? » (Ps. CV, 2.) Nous avons passé de la mort à l'immortalité tels sont les exploits et les bienfaits de la croix. Vous avez appris la victoire, vous avez appris la manière dont elle a été remportée; apprenez comment nous avons vaincu sans combattre. Nous n'avons pas ensanglanté d'armes, nous ne nous sommes pas rangés en bataille, nous n'avons pas reçu de blessures, nous n'avons pas soutenu de guerre; et nous avons remporté la victoire : c'est le Seigneur qui a combattu, et c'est nous qui avons obtenu la couronne. Puis donc que la victoire nous est propre, faisons éclater notre joie comme les soldats, chantons tous aujourd'hui l'hymne de la victoire; écrions-nous en louant le Seigneur : « La mort a été absorbée dans la victoire. O mort, où est ta victoire ? enfer, où est ton aiguillon ? » (I Cor. XV, 54 et 55.). Tels sont les avantages que nous a procurés la croix; la croix qui est un trophée érigé contre les démons, une arme contre le péché, le glaive avec lequel Jésus-Christ a percé le serpent infernal. La croix est la volonté du Père, la gloire du Fils unique, le triomphe de l'Esprit divin, l'honneur des anges, la sûreté de l'Eglise, le rempart des saints, l'objet dont se glorifiait Paul, la lumière du monde entier. En effet, comme pour dissiper les ténèbres d'une maison obscure, on allume et on élève un flambeau; de même Jésus-Christ, allumant et élevant la croix comme un flambeau, a dissipé les ténèbres épaisses dans lesquelles toute la terre était plongée. Et comme un flambeau est surmonté de la lumière qui le rend lumineux, ainsi la croix était surmontée du Soleil de justice qui la rendait brillante. Le monde voyant le Fils de Dieu crucifié, a frémi, la terre a été ébranlée, les pierres se sont fendues; mais les coeurs des Juifs, plus durs que la pierre sont restés insensibles. Le voile du temple s'est déchiré; et leurs complots criminels ne se sont pas rompus. Pourquoi le voile du Temple s'est-il déchiré ? C'est que le Temple voyait avec peine le Seigneur immolé hors de son enceinte sur l'autel de la croix; et par le déchirement de son voile, il semblait dire à tous les hommes : Que celui qui le voudra foule désormais aux pieds le Saint des saints. A quoi me servent les objets que je renferme, puisqu'une telle victime est immolée hors de mon enceinte ? à quoi me sert le testament ? à quoi me sert la loi ? C'est en vain que j'ai instruit les Juifs depuis plusieurs siècles. Le Prophète s'écriait à ce sujet : « Pourquoi les nations ont-elles frémi ? pourquoi les peuples ont-ils fait des réflexions inutiles ? » (Ps. II, 1.) Les Juifs avaient entendu cette prophétie : « Il a été conduit à la mort comme une brebis timide, il s'est tu comme un agneau devant celui qui le tond » (Is. LIII, 7) ; ils y avaient réfléchi longtemps; et lorsqu'ils l'ont vue s'accomplir, ils ont refusé d'y croire. Vous voyez comme ils ont fait des réflexions inutiles. Le voile du Temple s'est déchiré pour annoncer combien le Temple allait devenir pour toujours désert et abandonné. Puis donc qu'en ce jour nous devons nous-mêmes voir celui qui a été attaché à la croix, approchons, mes très chers frères, approchons avec tremblement et avec un recueillement respectueux, comme vers l'Agneau sacrifié et immolé pour nous. Ne savez-vous pas comment les anges se tenaient près du tombeau où il n'y avait plus de corps ? ils rendaient hommage au tombeau vide, comme à un monument qui avait renfermé le corps du Seigneur. Les anges, qui sont d'une nature supérieure à la nôtre, se tenaient près du tombeau, recueillis et pénétrés d'une vénération profonde; et nous, qui ne devons pas approcher d'un tombeau vide, mais de la table même où repose l'Agneau sans tache, nous approchons en faisant du bruit, en excitant du tumulte ! Pourrons-nous jamais excuser notre irrévérence ? Je ne parle pas au hasard et sans raison ; mais comme j'en vois plusieurs ce soir faire du bruit, crier, se précipiter, se presser les uns les autres , se charger d'injures, encourir des peines par une telle conduite plutôt que mériter le salut, voilà pourquoi je vous donne ces avertissements. Eh quoi ! mon frère, lorsque le prêtre est à l'autel, en silence, dans le plus profond recueillement, levant les mains au ciel, invoquant l'Esprit-Saint pour qu'il vienne sanctifier les offrandes ; lorsque l'Esprit-Saint accorde la grâce qui lui est demandée, qu'il descend sur les oblations; lorsque vous voyez l'Agneau sans tache immolé, divisé en plusieurs parties, vous faites alors du bruit, vous excitez du tumulte, alors vous cherchez des querelles, alors vous recourez aux injures ! Et comment pourrez-vous profiter du sacrifice, si vous apportez à l'autel un pareil esprit de contention ? (…)

 

« Jésus-Christ, dit Saint Paul, a désarmé les puissances ; il les a menées en triomphe à la face de l'univers, après les avoir vaincues par sa croix » (Coloss. II, 15.). Le trophée qu'il a érigé est décoré des marques de sa victoire, et les dépouilles de ses ennemis sont suspendues au haut de sa croix. Comme un prince généreux, après avoir terminé une guerre difficile, suspend au haut d'un trophée les cuirasses, les boucliers, les armes du tyran et de ses satellites, qu'il a vaincus : de même Jésus-Christ, après avoir terminé la guerre contre le démon, a suspendu au haut de la croix les armes de son ennemi, la malédiction et la mort; il en a fait un trophée éclatant, propre à être aperçu par tous les êtres, par les puissances d'en-haut qui sont dans les cieux, par les hommes qui habitent la terre, par les démons mêmes, dont il a triomphé. Puis donc que nous jouissons d'une si grande faveur, rendons-nous dignes des bienfaits que nous avons reçus, afin que nous obtenions le royaume céleste par la grâce et la bonté de Notre-Seigneur Jésus-Christ, à qui soient avec le Père et l'Esprit-Saint, la gloire, l'honneur et l'empire, dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il ».

 

 

Illustration 1 : Extrait du film de Mel Gibson, La Passion du Christ

Illustration 2 : Morgan Weistling (artiste américain), The Crucifixion

 

 

 

 

 

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APRÈS NOTRE CHEMIN DE CROIX AVEC JÉSUS,

OFFICE LITURGIQUE DU VENDREDI SAINT

 (MESSE "DES PRÉSANCTIFIÉS")

POUR PLUS DE PRÉCISIONS LITURGIQUES :

LIRE ET ÉTUDIER LE CÉRÉMONIAIRE

 

 

 

 

 

 

 

• PRIMA PARS : FERIA VI IN PASSIONE DOMINI - AD LITURGIAM VERBI

 

Mains jointes, la procession d'entrée se fait dans un silence absolu (pas d'orgue, pas de cloche,

pas de chant ni de commentaire). Les servants ne portent pas la Croix, pas de chandeliers,

pas d'encensoir. Après une inclination profonde du prêtre (en chasuble rouge) et du diacre

(en dalmatique rouge) devant l'Autel entièrement nu, ces derniers se mettent à genoux et

font la prostration, face contre terre. Tous les autres membres (servants et fidèles) sont

à genoux. Après un temps de prière - traditionnellement, le temps d'un Miserere - tous

se relèvent. Sans salutation, sans ajouter "Oremus" ou quoi que ce soit, le prêtre

prend directement une des deux Collectes du Missel. On s'assied. 1ère lecture.   

 

- Isaïe 52, 13 à 53, 12 : La grande prophétie du Serviteur souffrant

 

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Trait de l'Office : "Domine exaudi"
(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

 

- Hébreux 4, 14 à 5, 9 : Jésus, le grand prêtre, cause de notre salut

 

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Graduel de l'Office : "Christus factus est"
(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

 

vendredisaint- Jean 18, 1 à 19, 42 : La Passion de Notre Seigneur Jésus-Christ

La proclamation de la Passion de NSJC selon St Jean se déroule sans encens et sans cierges et commence

directement par "Passio Domini Nostri Iesu Christi secundum Ioannem" sans salutation ni signe de croix.

On évitera toute "théâtralisation" de l'Évangile. Le prêtre peut lire/chanter à lui seul la Parole de Dieu.

Après les paroles annonçant la mort du Seigneur-Jésus ("tradidit spiritum"), on se met à genoux

(le temps d'un Pater). Selon le Cæremoniale Episcoporum (§273), le prêtre doit normalement

terminer par le "Verbum Domini" (innovation controversée) et omet de baiser l'Évangile.

Ensuite, une brève homélie est normalement prescrite (cf : Missale Romanum 2002).

 

 

- Oratio universalis : Il n'y a pas de Credo. Nous enchaînons directement avec la Grande Prière universelle.

Entrecoupée iuxta traditionem du "Flectámus génua" et du "Leváte", le diacre, depuis l'ambon et mains jointes,

chante solennellement les intentions (Oremus...). Ensuite, depuis le siège, le prêtre chante solennellement

et mains étendues les oraisons. Pour une grave nécessité publique, l'Évêque peut autoriser ou imposer

une intention particulière. En revanche, le prêtre n'a aucunement le droit d'ajouter des intentions :

 

                                         - Pro Sancta Ecclesia

                                         - Pro Papa

                                         - Pro omnibus ordinibus gradibusque fidelium

                                         - Pro catechumenis

                                         - Pro unitate Christianorum

                                         - Pro Iudaeis

                                         - Pro iis qui in Christum non credunt

                                         - Pro iis qui in Deum non credunt

                                         - Pro rempublicam moderantibus

                                         - Pro tribulatis

 

 

 

 

 

• SECUNDA PARS : ADORATIO SANCTÆ CRUCIS

 

- Ostensio sanctæ Crucis (forme classique)

Venant de la sacristie et arrivant par l'allée centrale, le diacre et deux servants (avec chandeliers) apportent maintenant

la Croix voilée. En silence, l'assemblée se lève à son passage. Rejoignant le prêtre qui se trouve - mains jointes - entre

l'Autel et l'assistance, on dévoile maintenant en 3 temps Jésus-Crucifié. D'un ton bas à un ton plus élevé, le prêtre et la

Schola chantent (entrecoupé par un agenouillement silencieux) : "Ecce lignum Crucis * in quo salus mundi pependit".

L'assemblée répond : "Venite adoremus". Le diacre nous invite à l'agenouillement : "Flectámus génua / Leváte".

 

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Invitationem de l'Office : "Ecce lignum Crucis"

(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

 

 

 

- Adoratio sanctæ Crucis

Pendant l'adoration de la Sainte Croix, le prêtre (qui, depuis son siège, retirera sa chasuble rouge et se déchaussera),

les autres membres du clergé (par ordre), les servants de messe et les fidèles vont aller baiser, en s'agenouillant

respectueusement, les pieds de Jésus-Crucifié sur la Sainte Croix. Pendant ce temps d'adoration, la Schola

prendra l'antienne du "Crucem tuam", les "Impropères" et l'hymne du "Crux fidelis" (Graduale Romanum).

 
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Antienne de l'Office : "Crucem tuam"

(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

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Impropères de l'Office : "Popule meus"

(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

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Hymne de l'Office : "Crux fidelis"

(Exemple enregistré dans la Basilique N-D de Maastricht, 2012)

 

 

 

 

 

• TERTIA PARS : AD SACRAM COMMUNIONEM

 

- Communio

Après la Sainte Communion qui se fera en silence, nous pouvons rester en silence ou bien

chanter le Psaume 21 ou bien encore un autre chant approprié (cf : Missale Romanum 2002).

Nous proposons : "Quand Jésus mourait au Calvaire" ou "Ô Croix dressée sur le monde" ;

ou les hymnes du "Stabat Mater" et du "Vexilla Regis" ; - ou "L'Agneau est debout", etc.

Après la célébration, on dépouille l'Autel de ses nappes et on éteint les cierges, en y laissant

toutefois le Crucifix entouré de 4 chandeliers (cf : De festis paschalibus §71). On dévoilera

tous les crucifix (église, sacristie, calvaire, etc.). Par contre, le dévoilement des statues

ne se fera pas tout de suiteIl faudra attendre le Gloria de la Sainte Vigile Pascale.

 

 

 

 


 

 

 

 


LIENS (Pères de l'Église) : Sermon de Saint Augustin pour le Vendredi Saint + « Quand un Roi entre dans une ville, les soldats prennent les étendards » (Saint Jean Chrysostome) + Homélie de Saint Jean Chrysostome sur le mot "coemeterium" et sur la Croix + Homélies de Saint Jean Chrysostome sur le Bon Larron (1) + (2) + Sermon 52 de Saint Augustin sur la Passion et les deux larrons + Prière en vers, à chacun des membres de Jésus-Christ souffrant et attaché sur la Croix (Saint Bernard) + « Pour le Fils de Dieu égal au Père, pour le Verbe par qui tout a été fait, s’il a voulu être Roi d’Israël, c’est condescendance et non promotion » (Saint Augustin) + Lamentations sur la mort de Jésus-Christ (sûrement de Saint Bernard) + Méditations sur la Passion et la Résurrection du Seigneur (Saint Bernard) + Sermon de Saint Anselme sur la vie et la Passion du Seigneur

 


LIENS (vidéos, chants) : FILM INTEGRAL DE MEL GIBSON (INTERDIT AUX MOINS DE 16 ANS) : LA PASSION DU CHRIST + Pourquoi le Sacrifice du Christ est-il le plus parfait ? par l'Abbé Benoît Paul-Jospeh (FSSP) + Quelle relation existe-t-il entre le Sacrifice de la Croix et la Messe ?, par l'Abbé Benoît Paul-Joseph (FSSP) + De l'efficacité de la Croix de Jésus-Christ, par l'Abbé Guy Pagès + Pourquoi la Rédemption ?, par l'Abbé Guy Pagès + La Croix, unique espérance, par l'Abbé Guy Pagès + Lamentations du Vendredi Saint (arabe, par la chanteuse libanaise Fayruz) + Chant des chrétiens d'Orient sur le Christ en Croix + Chant (arabe) : Aujourd'hui a été suspendu sur le bois... (par la chanteuse libanaise Fayruz) + Hymnes (en arabe, 31 minutes) pour le Vendredi Saint (par la chanteuse libanaise Fayrouz) + Chemin de Croix de la Basilique du Sacré-Coeur de Montmartre (PARIS) + Chemin de Croix (en arabe)

 

 

LIENS (prières, divers) : Cantique pour le Chemin de Croix + Litanies du Précieux Sang + Litanies de la Sainte Passion du Christ + Le chapelet des larmes de douleurs de la Vierge Marie + Chapelet du Calvaire + Hommage à Jésus souffrant, crucifié et mourant pour notre amour, par Sainte Marguerite-Marie + Cœur Sacré de Jésus, broyé à cause de nos péchés, ayez pitié de nous + Invocation à la Sainte Croix + Prière pour honorer les plaies de NSJC, par le Bienheureux Jean-Martin Moye + Séquence pour le Vendredi Saint + Catéchisme de l'Eglise catholique (N°595-623) : Jésus est mort crucifié + Le péché renouvelle la Passion de Jésus (Sermon du Saint Curé d'Ars pour le Vendredi Saint) + Lettre Apostolique "Salvifici Doloris" sur le sens chrétien de la souffrance humaine, par Jean-Paul II + Avorté le Vendredi Saint + Le Christ est aussi le Sauveur des juifs (Benoît XVI) + La Passion en direct + Le Chemin de Croix (Via Crucis) + Suivre heure par heure (en résumé) la Passion de NSJC avec la Bienheureuse Mystique Anne-Catherine Emmerich + A la Bienheureuse Vierge Marie réparatrice + Dévotions du Vendredi Saint + Acte de consécration aux saintes plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ + Acte de consécration à la Sainte Face, par Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus + Chapelet des saintes plaies + Chapelet des cinq plaies de Notre Seigneur Jésus-Christ + Dévotion à la Sancta Scala + Hans Urs von Balthasar : le Bouc-Emissaire + Hans Urs von Balthasar : Cène et Passion + René Girard : Satan s'est fait duper par la Croix + La douleur de Dieu, par le père Molinié + Le triomphe de la Croix (René Girard) + La Croix est salut et jugement, par l’Abbé Nicola Bux et l’Abbé Salvatore Vitiello + Commentaires Liturgiques (avant la réforme de Pie XII) + Cérémonie pour la forme extraordinaire (après la réforme de Pie XII) + Propre de la Messe (forme ordinaire) + Articles librement consultables sur la souffrance de Dieu (Revue Résurrection N°88-89)

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