Le dernier livre personnel de Jean-Paul II, un « testament politique et spirituel », présente l'histoire du XXe siècle qui est marquée par une bataille d'idées européennes aux multiples courants, qui convergent depuis les Lumières vers une sorte de « dévastation des consciences ». Pour évaluer la « culture dominante » de l'Europe, le pape évoque le mouvement d'immanentisme radical qui chasse peu à peu toute référence à Dieu pour aboutir au rejet de toute métaphysique et au relativisme exacerbé sur le plan éthique. Pour Jean-Paul II, ce déclin intellectuel trouve sa source chez Descartes qui « s'occupe des êtres en tant que contenus de la conscience, et non en tant qu'existants en dehors d'elle », détruisant toute la philosophie réaliste de l'être construite par Aristote et Saint Thomas d'Aquin. L'être pensant qu'est devenu l'homme prend la place de l'être pleinement subsistant qu'est Dieu, alors que jusqu'alors il n'était qu'être participant recevant son soutien du Créateur. En rejetant Dieu en tant que Créateur, on a détruit « la source de détermination de ce qui est bien et mal » et rendu possible les idéologies du mal que sont le nazisme et le marxisme et leur cortège d'exterminations. Mais Jean-Paul II ne considère pas les deux grands totalitarismes comme une sorte d'horrible parenthèse. Il s'agit bien de paroxysmes maléfiques surgis du processus de sécularisation continu depuis Descartes. Et si les nationaux-socialistes, ceux-là mêmes qui ont perpétré l'extermination des Juifs, sont arrivés au pouvoir dans l'Allemagne de 1933 par des voies démocratiques, le mal est toujours présent. C'est pourquoi le Pape – et c'est ce qui fait hurler les grands prêtres de la pensée unique horizontale – rappelle qu'aujourd'hui « demeure toutefois l'extermination légale des êtres humains conçus et non encore nés. Il s'agit encore une fois d'une extermination décidée par des Parlements élus démocratiquement ».
Le mal moderne n'est pas simplement réductible aux grandes idéologies du XXe siècle, mais se trouve dans le sécularisme, qui est lui-même à l'origine de l'hitlérisme, du communisme et de formes nouvelles et non moins dangereuses de totalitarisme dans nos sociétés démocratiques occidentales. Jean-Paul II évoque l'avortement, mais il ajoute aussi : « D'autres formes de violation de la loi de Dieu ne manquent pas non plus. Je pense par exemple aux fortes pressions du Parlement européen pour que soient reconnues les unions homosexuelles comme une forme alternative de famille, à laquelle reviendrait aussi le droit d'adopter. On peut et même on doit se poser la question de savoir s'il ne s'agit pas, ici encore, d'une nouvelle « idéologie du mal », peut-être plus insidieuse et plus occulte… »
--> Le Saint-Père témoigne d'une liberté intellectuelle étonnante à l'égard de la pensée moderne. Sa critique est aussi un appel à la vigilance et la résistance. A lire absolument !
Les évêques du Mexique ont manifesté publiquement leur mécontentement quant à la décision de la justice mexicaine qui ratifie la loi sur la dépénalisation de l’avortement en affirmant que « la vie humaine est un don, un cadeau et un droit qu’on doit toujours estimer, soigner et protéger ». La Cour Suprême du Mexique a décidé de confirmer la constitutionalité de la loi que l’Assemblée législative de la circonscription fédérale (ALDF) a approuvée le 24 avril 2007. Cette loi relative à la réforme de l’article 144 du Code pénal libéralise le crime de l’avortement jusqu’à la douzième semaine.
Dans un communiqué signé par le Secrétaire de la conférence épiscopale mexicaine (CEM), Mgr Carlos Aguiar Aguer et Mgr José Leopoldo Gonzalez Gonzalez, au nom de tous les évêques du pays, ont lancé un appel urgent afin que les Mexicains prennent conscience de la gravité que demande la défense de la vie. « Evidemment, cette prise de conscience commence par le respect et la défense de la vie de sa conception jusqu’à sa mort naturelle. En marge de cette réflexion, nous adressons un appel à la société dans son ensemble pour défendre fermement chaque embryon humain, parce que le droit inaliénable de la vie de chaque individu dès sa conception doit être un élément constitutif de la société civile et de sa législation », peut-on lire dans le communiqué des évêques mexicains. Pour sa part, le cardinal Norberto Rivera Carrera (photo), primat du Mexique, a publié une note après la décision de la Cour dans laquelle il affirme que « cette décision pourra légaliser le crime mais elle ne rendra jamais morale ce qui est abominable en soi, comme l’assassinat d’êtres innocents dans le ventre de leurs mères. Aucune Cour ne pourra contredire la loi suprême de Dieu qui nous ordonne : tu ne tueras pas ! ». En même temps, il a rappelé aux fidèles que le futur de la nation dépend de tous, « parce qu’à la peur généralise de la violence dans les rues et à la destruction causée par le trafic de drogue, s’ajoute désormais une violence institutionnelle, avalisée par la justice qui n’arrêtera pas la mort de millions d’enfants innocents et qui sera la cause d’un dommage physique, moral et spirituel pour les femmes appelées à vivre cet événement tragique ». Tout cela conduit inévitablement à l’indifférence et au relativisme moral. Le cardinal Rivera (photo) adresse également un appel à tous les prêtres et religieux à « servir de façon désintéressée, ferme et dans un esprit de sacrifice toutes celles qui pensent à mettre fin à la vie de celui qui doit naître ». Il demande aux médecins et aux infirmières de « protéger à tout prix la vie des enfants conçus et d’être fidèles à leur vocation et à leur conscience chrétienne » en exerçant leur droit d’objection de conscience. Il demande aux laïcs de participer activement au devoir de sauver des enfants à naître en favorisant « les lois qui aident les femmes et en faisant la promotion des emplois dignes qui permettent un développement sain de la famille ».
Après la diffusion de la sentence de la Cour Suprême, les cloches de la cathédrale métropolitaine et des principales paroisses de la ville de Mexico ont sonné sans interruption pendant une demi-heure en « signe de douleur et de deuil ».
A la suite de Romano Guardini, le Cardinal Ratzinger a souvent insisté sur les trois dimensions essentielles qui garantissent l'existence d'une liturgie dont peuvent véritablement bénéficier tous les fidèles. La liturgie doit avoir une dimension cosmique lui permettant d'unir toute la création dans la louange que l'Eglise adresse au Créateur, une dimension historique lui permettant de prendre en compte la croissance de l'Eglise qui s'est faite au cours des siècles, et une dimension mystérique lui permettant de signifier ce qui dépasse les seules capacités de l'intelligence humaine. Lorsqu'une de ces composantes est oubliée ou rejetée, on en arrive ces liturgies de type do-it-yourself qui se caractérisent par : - le rejet des normes rituelles qui sont alors remplacées par l'arbitraire des célébrants ou des équipes liturgiques, - le rejet de la répétition des rites qui est alors remplacé par tout ce qui peut signifier le désir d'indépendance et d'autonomie vis-à-vis de l'enseignement de l'Eglise, - le rejet de ce qui est établi par la Tradition, qui est alors remplacé par des créations éphémères et factices.
L'homme ne peut être lui-même qu'à travers un principe de réception et de participation - participation à ce qu'il a reçu -. Pour cette raison, celui qui fuit une relation de soumission à la Tradition devient nécessairement un tricheur. Les célébrations liturgiques marquées par la tricherie sont malheureusement devenues habituelles : elles sont condamnées à n'être que le signe d'une décadence culturelle, et ceux qui en sont les auteurs, les vecteurs ou les participants, s'enferment dans un système qui, à court terme, n'a aucun avenir et ne laissera aucune trace.
Ne nous faisons pas d’illusions : l’expérience du Seigneur Jésus dans notre vie, le goût de sa présence qui pacifie et qui guérit, doivent être pris au sérieux ! Accueillir Jésus veut dire Lui donner toujours plus de place dans notre existence par une foi authentique qui nous fait nous engager à fond et pas seulement en partie, dans la voie de la conversion personnelle, quel que soit notre état de vie. Si l’engagement de conversion est seulement partiel, cela veut dire que Jésus n’est pas considéré comme le Seigneur de la vie, mais comme quelqu’un qui mérite seulement la moitié, seulement une partie de notre cœur, et non pas la totalité de notre être.
Nous réduisons souvent notre engagement à aimer et à servir le Seigneur, et nous le fragmentons dans le temps, et, si l’on ne s’en rend pas compte, cela rend impossible l’admirable échange entre son Esprit Saint et notre esprit, étant donné que l’on empêche l’action constante et merveilleuse de la grâce sanctifiante, qui n’admet pas l’obstacle que constitue le péché. Dieu voudrait transformer notre existence, il voudrait l’éclairer tout entière de sa Lumière, et, au contraire... « Les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises » (Jean 3, 19). L’Evangile nous montre clairement qu’il n’est pas permis de suivre le Seigneur d’une autre manière que celle qu’il a Lui même indiquée. D’où la nécessité de la présence de la Sainte Tradition dans l’Eglise, pour que ce qui est vrai, saint, sacré, ne soit pas balayé par le temps qui passe et par les hommes qui vivent dans leur temps. Les vérités de la foi, les exigences pour suivre le Christ, restent inchangées au long des siècles, tout comme la Parole de Dieu ; et pour cela, il ne peut y avoir de chemins plus faciles, moins exigeants, ou des raccourcis vers la sainteté. Le Seigneur n’est pas venu pour tromper les hommes, et moins encore pour vendre une marchandise au meilleur offrant. Le Seigneur, à la différence avec nous, n’est pas un opportuniste. Les hommes, qui ne peuvent plus supporter la force invincible de la Vérité qui émanait de toute sa Personne, de chacune des ses Paroles, de chacune de ses Actions, - signe indélébile que Dieu était descendu sur la terre et marchait au milieu d’eux - l’ont mis en Croix ! Le Seigneur Jésus, en vertu du mandat divin ne vient pas pour négocier le salut, mais il est Lui-même le salut ; il n’est pas venu nous apporter un peu plus de lumière, mais il est Lui-même la Lumière ; il n’est pas venu nous dire des vérités en plus, mais il est Lui-même la Vérité, toute la Vérité ! Pour cela, on ne peut laisser place au doute sur ce qu’il nous demande : « Si quelqu’un m’aime, il observera ma parole, et mon Père l’aimera, et nous viendrons chez lui et nous ferons notre demeure chez lui » (Jean 14, 23). Le Seigneur Ressuscité, précisément parce qu’il est ressuscité, est digne d’être l’objet de toute notre attention et de tout notre engagement, comme le déclare ce passage de l’Apocalypse : « Tu es digne, ô notre Seigneur et notre Dieu, de recevoir la gloire et l’honneur et la puissance, car c’est toi qui créas l’univers ; par ta volonté, il n’était pas, et il fut créé » (Apocalypse 4, 11). A la lumière de la Vérité qu’est le Seigneur Jésus, les épreuves mêmes de la vie, petites ou grandes, acquièrent une valeur nouvelle, qui est aussi une vérification concrète et précise de l’orientation réelle de notre cœur vers le Royaume de Dieu. Quand une Croix nous arrive, quelle que soit la situation où elle nous trouve, nous devons dire avec Saint Paul : « Tout concourt au bien de ceux qui aiment Dieu » (Romains, 8, 28). Tout ! Même dans les épreuves les plus dures, si elles sont vécus avec le Seigneur - en adhérant à sa parole, en croyant sans mettre de « si », ni de « mais » aux promesses des Béatitudes - nous ferons l’expérience que le ciel sombre se déchirera, et que notre esprit s’ouvrira à des horizons meilleurs et plus élevés, à des biens infiniment plus grands que ceux que l’épreuve elle-même est venue nous enlever ici-bas : la santé, les affections, les certitudes, les songes de réalisation humaine, la renommée, les honneurs...
Prendre le Seigneur au sérieux, tout au long de cette brève vie sur la terre, veut dire pouvoir s’unir au Ciel avec le nombre de tous ceux « qui sont passés par la grande tribulation et ont lavé leurs vêtements et les ont blanchis dans le Sang de l’Agneau. C’est pourquoi ils sont devant le trône de Dieu, le servant jour et nuit dans son Temple ; et Celui qui siège sur le trône étendra sur eux sa tente. Jamais plus ils ne souffriront de la faim ni de la soif ; jamais plus ils ne seront accablés ni par le soleil, ni par aucun vent brûlant. Car l’Agneau qui se tient au milieu du trône sera leur pasteur et les conduira aux sources des eaux de la vie. Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux » (Apocalypse, 7, 14-17). A la tête de cette armée de lumière, il y a la Reine des Saints qui, dans son « testament », nous a laissé sur la terre une seule consigne : prenez mon Fils au sérieux, « Faites tout ce qu’il vous dira » (Jean 2, 5).
R. Qui regarde vers Lui resplendira
Sans ombre ni trouble au visage (bis)
1. Venez à moi vous tous qui peinez
Et ployez sous le fardeau
Et moi je vous soulagerai,
Et moi je vous soulagerai.
2. Chargez vous de mon joug,
Mettez-vous à mon école,
Car je suis doux et humble de cœur,
Je suis doux et humble de cœur.
3. Illumine mon âme,
Fais de moi un enfant de lumière.
Jésus, Lumière de ma vie,
Fais briller sur moi ton visage.
© Fraternité Franciscaine de Bitche
« C'est encore le temps des martyrs pour l'Eglise », soutient Mgr Rino Fisichella, président de l'Académie pontificale pour la vie. Dans une interview au quotidien « Libero », à l'occasion du Meeting pour l'amitié entre les peuples de Rimini, faisant référence aux actes de violence et d'intolérance de la part des fondamentalistes hindous qui bouleversent la région indienne de l'Orissa, il a affirmé que là « l'Eglise est violentée »…
« Dans un monde qui fait des progrès et qui considère comme acquises les valeurs de la démocratie et de la liberté, a-t-il observé, on assiste à des épisodes de violence et d'intolérance inouïs ». Selon le prélat, « nous vivons probablement la phase la plus critique de la culture occidentale, où il manque un profond respect pour le christianisme, qui constitue la racine même de la civilisation occidentale. C'est comme si un fils rejetait sa propre mère ». « Comme nous formons un seul corps, a-t-il souligné, les blessures et la mort des autres chrétiens nous touchent personnellement, comme si nous étions martyrisés nous-mêmes ». Mgr Fisichella a ensuite fait référence à la situation en Italie, affirmant qu'il y a aussi en Italie des personnes qui tentent « d'isoler et de ridiculiser la foi chrétienne, en particulier catholique ». « L'objectif, a-t-il expliqué, est de marginaliser le rôle de l'Eglise sur la scène publique. Mais ce que l'on ne comprend pas c'est que ces attaques frappent au contraire le cœur même de la liberté ». Dans son intervention du 29 août à l'occasion de la rencontre sur « Eglise et modernité : le dialogue nécessaire », Mgr Fisichella avait dit que « l'Eglise au cours de ses deux mille ans d'existence et aujourd'hui encore, joue un rôle dans la vie des personnes ». « C'est justement parce que nous sommes crédibles, a-t-il souligné, parce que nous sommes capables de donner des martyrs, parce que nous sommes capables aujourd'hui encore, sans interruption, de rapporter cette Parole de Vie, que le monde ne nous veut pas ». Dans une interview au journal « Il Sussidiario », le prélat a toutefois rappelé que l'homme a besoin de l'Eglise, qu'il a en particulier besoin de quelqu'un « qui annonce qu'il y a une présence salvifique dans l'histoire ». « L'Eglise n'est pas seulement celle qui annonce, a-t-il observé, mais celle qui continue à rendre visible l'œuvre du Christ ». « L'homme d'aujourd'hui a besoin de rencontrer le Christ pour être protagoniste, et il a besoin de l'Eglise pour rencontrer le Christ ressuscité », a-t-il affirmé.
Alors que nos églises se vident suite à une baisse de la pratique religieuse, on constate qu'ici et là se construisent des mosquées qui, elles, sont généralement bien fréquentées. Dans un article paru dans le quotidien "Die Welt" du 28 août 2008, le publiciste Udo Ulfkotte critique très sévèrement le manque de réaction de l'Europe face à ce qu'il appelle une "islamisation rampante". Dans son commentaire, il cite de nombreux exemples de comportements d'évitement de la part des Etats dès qu'ils sentent un risque d'offenser l'Islam. Des comportements qui reviennent à nier leurs propres valeurs…
N'y a-t-il pas un comportement identique chez certains catholiques qui, en même temps qu'ils bradent les valeurs de leur liturgie, admirent - à juste titre - le sérieux avec lequel sont psalmodiés les versets du Coran par les Musulmans ? Nier "notre" identité, jusque dans nos églises d'où disparaissent les marques du sacré, tel est le problème. C'est ainsi - poursuit Udo Ulfkotte - que certains pays en arrivent à accepter à présent des tribunaux islamiques appliquant la Charia. Et l'Auteur de préciser : « Il est clair que nous nous ne voyons plus guère d'inconvénients à la pratique de la polygamie des musulmans, et que les femmes "encagées" dans leur vêtement sont devenues à présent dans nos rues des signes évidents d'un enrichissement culturel ! ». En Suède, il serait même question d'une dépénalisation des meurtres pour "l'honneur", c'est-à-dire de ces meurtres censés rétablir l'honneur du meurtrier ou de sa famille. Ulfkotte continue : « Au Danemark, on a vu pour la première fois une église payer un tribu à des Musulmans pour protéger ses fidèles chrétiens d'éventuelles attaques lorsqu'ils sont sur le chemin du culte ». En outre, un peu partout en Europe, on trouve des mosquées nouvellement construites portant les noms des plus grands opposants au christianisme dans l'histoire de l'Islam. L'Auteur cite comme exemple la mosquée "du Sultan Fatih" inaugurée ce mois-ci à Ingelheim-am-Rhein avec un enthousiasme euphorique de la part des politiciens et des représentants des Eglises. Mais sait-on que le Sultan turc Mehmet II, surnommé "Fatih" (le Conquérant) a envahi la Constantinople chrétienne en 1453 en faisant décapiter et mettre au pilori tous les chrétiens de la ville ? « Ces exemples de "mosquées Fatih" qui sans cesse viennent marcher sur les pieds des chrétiens réapparaissent à présent dans toutes les conversations. Nous viendrait-il à l'idée, à nous, chrétiens, de baptiser une basilique du nom de Godefroy de Bouillon ? ».
D'après Ulfkotte, cette « islamisation rampante » s'étend maintenant à toute l'Europe : il n'y aura sans doute pas ce que certains appellent "un choc des cultures", car du côté chrétien, on assiste déjà à un abandon de toutes nos valeurs. Mais quand un jour nos enfants nous poserons les questions gênantes, alors il sera déjà trop tard pour inverser la tendance.
64ème successeur de Pierre (537-604) : "Servus servorum Dei" :
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